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07 janvier 2008




LORSQUE LE FOOT ÉTAIT ROI À RUTALI

14 commentaires:

  1. Anonyme23:32

    Photo du bas

    Trois frères Maroselli sur cette photo: Antoine, François et André

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  2. Anonyme01:07

    Il me semble reconnaître mon oncle "Jojo" Bragoni - celui qui tient le ballon - prématurément disparu en 1955 alors qu'il n'avait que 24 ans...

    D.D.

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  3. Anonyme10:10

    Oh vieillesse ennemie que de cheveux perdus..(toute allusion faisant croire que j'ai pu penser à G..ou JB.. ne serait que pure perfidie) .Chauve qui peut

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  4. Anonyme10:18

    N'est ce point JP Taseï le plus en arriére au milieu.Un trés fin joueur gaucher,bien injustement oublié dans les classements..
    bc

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  5. Photo du haut

    Debout:
    en costume, Jean Venturini,
    Jean-Pierre Tasei, René Andreani, J-B Giacomoni, Jacques Olmeta, Ange Bastelica?, Sauveur Graziani.

    Accroupis:
    Pierrot Torre, Antoine Graziani?, Pierre Giuliani, Antoine Bastelica, Dominique Giacomoni, Mimi Dominici, Gaston Finocchi.

    Devant, évidemment, Henri Santelli

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  6. Anonyme14:29

    Tous des fatigués sur ce blog

    alors, de gauche à droite,
    Debout:
    Antoine Maroselli, Robert Luciani, ?, Jean Finocchi, Louis Morelli, Paul Tomi, André Maroselli, Charlot Andreani, Jean Venturini en civil.

    Accroupis:
    Laurent Venturini, François Maroselli, Jojo Bragoni, Raoul Cordoliani, ? .

    Je suppose que le but de Cuccu en publiant ces photos, c'est qu'on mette un nom sur le visage de ces hommes, tous rutalais. La majorité a quitté ce monde.

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  7. Anonyme16:33

    Le ? debout c'est LOUIS MORELLI.Le but du cuccu c'est de marquer .

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  8. Un village, ce n’est pas seulement un espace géographique, où il peut être agréable ou commode de vivre, c’est aussi une histoire humaine. Avec des disparus, que plusieurs d’entre nous ont connu, mais dont les plus jeunes ou les plus récents habitants ne connaissent pas les noms ou les visages, mais aussi des vivants qui ont vieilli mais qui sont très reconnaissables. C’est pour chacun, y compris pour le rutalais d’adoption que je suis, un moyen de se situer lui-même dans le fil de cette histoire collective, parfois difficile mais le plus souvent chaleureuse.

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  9. Anonyme18:35

    Enfin, mi pare !

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  10. Anonyme20:03

    Da JBG, in risposta à u terzu cummentu:"...è quante vite perse digià !..." Per a nostalgia, aghjusteraghju 'stu picculu scrittu:

    "O lu mo fidu anghjulellu
    chì ti ne stai à camancella
    ridendusi d’e mo sciagure
    tenile forte belle sicure
    e mane strinte à la vulella
    ch’hè u mo capu smentichellu

    è pensa ch’ùn aghju più capelli

    Si ne sò andati anch’elli
    cum’è si ne vanu i ghjorni
    i lazii mei sò à i forni
    i tempi ùn sò più quelli

    Ma dimmi un pocu trà di noi
    ùn la ferai micca apposta
    di canzunammi in falze rime
    colte da tè in dette cime
    A sai ciò ch’ellu mi costa
    l’amichi mi danu di voi

    m’eranu cari quant’è fratelli

    Si ne sò andati anch’elli
    cum’è si ne vanu i fiori
    ch’hanu spechjatu tant’amori
    i tempi ùn sò più quelli..."

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  11. Anonyme20:43

    JG c'est très beau leger; comme d'habitude poésie et sensibilité se rejoignent .

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  12. Anonyme20:43

    JG c'est très beau leger; comme d'habitude poésie et sensibilité se rejoignent .

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  13. Anonyme21:19

    decesimu cummentu,terzu filaru: Leghje "ridenduti" à locu di "ridendusi". JBG

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  14. Anonyme21:20

    decesimu cummentu,terzu filaru: Leghje "ridenduti" à locu di "ridendusi". JBG

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