César, calme César, le pied sur toute chose, Les poings durs dans la barbe, et l’œil sombre peuplé D’aigles et des combats du couchant contemplé, Ton coeur s’enfle, et se sent toute-puissante Cause.
Le blog en vain palpite et de « comments » arrose En vain d’or se dépouille la fontaine à jaser Tu durcis dans les cases de ta grille assemblée L’ordre, qui doit enfin rendre vaine la glose.
L’ample monde, au delà de l’immense horizon, L’Empire attend l’éclair, le décret, le tison Qui changeront le soir en furieuse aurore. Heureux là-bas sur l’onde, et bercé du hasard,
Un pêcheur indolent qui flotte et chante, ignore Quelle foudre s’amasse au centre de César.
César, calme César, le pied sur toute chose, Les poings durs dans la barbe, et l’œil sombre peuplé D’aigles et des combats du couchant contemplé, Ton coeur s’enfle, et se sent toute-puissante Cause.
Le blog en vain palpite et de « comments » arrose En vain d’or se dépouille la fontaine à jaser Tu durcis dans les cases de ta grille assemblée L’ordre, qui doit enfin rendre vaine la glose.
L’ample monde, au delà de l’immense horizon, L’Empire attend l’éclair, le décret, le tison Qui changeront le soir en furieuse aurore. Heureux là-bas sur l’onde, et bercé du hasard,
Un pêcheur indolent qui flotte et chante, ignore Quelle foudre s’amasse au centre de César.
celà s'arrose d'un petit pastiche :
RépondreSupprimerCésar, calme César, le pied sur toute chose,
Les poings durs dans la barbe, et l’œil sombre peuplé
D’aigles et des combats du couchant contemplé,
Ton coeur s’enfle, et se sent toute-puissante Cause.
Le blog en vain palpite et de « comments » arrose
En vain d’or se dépouille la fontaine à jaser
Tu durcis dans les cases de ta grille assemblée
L’ordre, qui doit enfin rendre vaine la glose.
L’ample monde, au delà de l’immense horizon,
L’Empire attend l’éclair, le décret, le tison
Qui changeront le soir en furieuse aurore.
Heureux là-bas sur l’onde, et bercé du hasard,
Un pêcheur indolent qui flotte et chante, ignore
Quelle foudre s’amasse au centre de César.
Cela s'arrose d'un petit pastiche :
RépondreSupprimerCésar, calme César, le pied sur toute chose,
Les poings durs dans la barbe, et l’œil sombre peuplé
D’aigles et des combats du couchant contemplé,
Ton coeur s’enfle, et se sent toute-puissante Cause.
Le blog en vain palpite et de « comments » arrose
En vain d’or se dépouille la fontaine à jaser
Tu durcis dans les cases de ta grille assemblée
L’ordre, qui doit enfin rendre vaine la glose.
L’ample monde, au delà de l’immense horizon,
L’Empire attend l’éclair, le décret, le tison
Qui changeront le soir en furieuse aurore.
Heureux là-bas sur l’onde, et bercé du hasard,
Un pêcheur indolent qui flotte et chante, ignore
Quelle foudre s’amasse au centre de César.
César, merci pour Laura Flessel...elle le vaut bien!!
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