"Dieu que c'était beau !"
Sur un long poème de
Garcia Lorca, écrit en mémoire de son ami
Sanchez Mejias, mortellement blessé dans l'arène,
Vicente Pradal a mis en musique ce drame et nous offre un spectacle bouleversant.
Trois chanteurs et une chanteuse magnifique, quatre musiciens, nous donnent des scènes tellement expressives qu'on en oublie qu'on ne comprend pas l'espagnol.
On est subjugué, la gorge nouée tout au long d'un spectacle dont on ne sort pas indemne.
S'il passe près de chez vous, allez voir
Llanto, vraiment, vraiment...
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