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23 décembre 2006

DESPROGES : L’humour décalé. Toujours doux-amer, toujours au second degré, toujours limite, mais du bon côté de la ligne, l’anti-sémitisme brocardé par son propre discours, un clin d’œil adressé avec suffisamment de finesse et d’intelligence pour qu’il n’y ait aucun doute de racisme anti-juif en ce qui le concerne. Ce qui paraît moins le cas aujourd’hui de l’ambigu Dieudonné.

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