Quel choc et quelle émotion en voyant "lentement" apparaître une partie de ma famille sur cette photo ! (je n'ai que du bas débit actuellement...). Si mon émotion ne me trahit pas (? !!), il y a ma mère _ au milieu et souriante _ , ma tante Olympe et vraisemblablement son premier compagnon, mon oncle François et mon père. Si "tout" est juste, merci de me dire qui a fait passer cette photo et un grand merci à cette personne !!! D.D.
Chère D.D, Cette photo fait partie des quelques centaines de clichés confiés par les familles, aux fins de publication, lors de la première expo d'Opera. Qui avait envoyé celle-çi ? Nous ne saurions vous le dire aujourd'hui. Peut-être Claudy ? Toutes ces photos n'avaient pu être exposées mais toutes avaient été numérisées et nous publions ainsi régulièrement certaines de celles qui n'avaient pu figurer, sachant faire plaisir à nos amis. Plusieurs lecteurs m'ont confié qu'ils imprimaient régulièrement celles qui les touchaient.
mais il y en a toujours des anes a rutali !!!
RépondreSupprimerMais les vôtres n'ont pas de chapeau!
RépondreSupprimerQuel choc et quelle émotion en voyant "lentement" apparaître une partie de ma famille sur cette photo ! (je n'ai que du bas débit actuellement...).
RépondreSupprimerSi mon émotion ne me trahit pas (? !!), il y a ma mère _ au milieu et souriante _ , ma tante Olympe et vraisemblablement son premier compagnon, mon oncle François et mon père.
Si "tout" est juste, merci de me dire qui a fait passer cette photo et un grand merci à cette personne !!!
D.D.
Chère D.D,
RépondreSupprimerCette photo fait partie des quelques centaines de clichés confiés par les familles, aux fins de publication, lors de la première expo d'Opera. Qui avait envoyé celle-çi ? Nous ne saurions vous le dire aujourd'hui. Peut-être Claudy ? Toutes ces photos n'avaient pu être exposées mais toutes avaient été numérisées et nous publions ainsi régulièrement certaines de celles qui n'avaient pu figurer, sachant faire plaisir à nos amis. Plusieurs lecteurs m'ont confié qu'ils imprimaient régulièrement celles qui les touchaient.