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01 avril 2010

LE CONSEIL MUNICIPAL DE 1977

33 commentaires:

  1. Anonyme10:14

    L'union de la gauche qui fleurait bon les liens à jamais tissés par la guerre entre la plupart de ces familles réunies; en ce temps là les clivages étaient claires et solides
    Il était pas mal notre "vieux maire", mélange de fidélité,, de clientélisme bien sûr, de séduction, de passage en force mais aussi de convictions à gauche, et surtout cette capacité à rayonner à l'extérieur, pour que Rutali pèse toujours plus que son poids réel jusqu'à Ajaccio grâce à un charisme inégalé, inimitable, dans 20 ans au plus ceux qui comme moi ne ne seront plus là emporteront le souvenir de cette époque, celle d'un Rutali leader dans son canton,uni derrière son maire,et solidaire entre tous les siens

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  2. Anonyme14:12

    Radicaux de gauche, communistes et socialistes l'entente était parfaite l'étiquette claire et nette
    Et puis cela fait plaisir à voir cette photographie me ravit
    Tempi e tempi

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  3. Anonyme15:34

    je ne les reconait pas tous,hélas beaucoup ont disparu je crois.

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  4. Anonyme16:16

    socialistes pochi e micca ? on va dire radicaux pas si radicaux que celà, de gauche certainement mais pas trop mal à l'aise coté droit , enfin des communistes des vrais ça oui , plus que gauche plurielle ou gauche solidaire, on va dire gauche utile pour gagner

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  5. Anonyme16:18

    il y a sur la photo un très grand cycliste de renommée cantonale , qui était en charge des sports et de l'internationnal ( avec les communistes bien sûr)

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  6. Anonyme16:20

    je reconnais César, socialiste ? radical ? communiste ? j'en sais rien mais certainement Ecolo avant l'heure

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  7. Anonyme16:21

    JULIEN QUEL REGRET !!

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  8. Anonyme16:46

    U Vecchjiu ghjera u pui forte e D'assai luntanu, a so piu grande qualità pulitica era di sabbe leghje l'altru indé l'occhji senza parlà, acquà in bocca e fiduce, un sguardu bastava per sappe, e incu i nemichi ghjera u piu forte per girali senza rimore, rari finalemente, quasi nisunu un putia di "un l'u voteraghju mai", per una sola raggione: ghje chi sé voi erate male ghjera u primu a esse vicinu , i so amichi eranu di manca e di dirrita , e l'amicizia tandu si faccia vale incu pocchi detti ma assai prove , e chi prove per Andria !
    vi parlu d'un tempu induve l'omi diritti eranu parecchji e vulia di assai

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  9. Anonyme16:46

    qui avait apporté le caviar pour le spuntinu ?

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  10. Anonyme21:11

    Pour porter une petite mais néanmoins importante correction au quatrième commentateur LE MAIRE n'a jamais voté à droite JAMAIS !!!
    Une fois il a dit OUI au référendum pour Charles DE Gaulle en 58 ,je crois;mais à cette élection ça n'était pas une question de DROITE ni de GAUCHE.

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  11. Anonyme09:25

    on ne lui en tiendra pas rigueur,tenez son homonyme ministre rutalais a voté les pleins pouvoir à Pétain en 40 et ce fût un sincère homme de gauche.

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  12. Anonyme10:01

    "on ne lui en tiendra pas rigueur " il ne manquerait plus que ça ;peut être qu'en affirmant qu'il n'a jamais tourné sa veste cela vous a offensé (excusez moi mais et ce n'était pas le but) car vous faites peut être partie des "fritelle" . Quant à l'autre A Maroselli je pense là aussi que vous trompez les lecteurs du blog ,donnez les dates exactes et vous verrez que là aussi vous vous trompez(mais serait ce une omission volontaire..)

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  13. Anonyme10:50

    Andre Maroselli , LE maire, était un homme de gauche incontestable qui n'a malheureusement pas vu la gauche de 81.
    A Rutali, il y a toujours eu des" ceppi" de gauche et des "ceppi" de droite.Et LE maire connaissait par coeur la forêt politique et les tempéraments.
    Aujourd'hui les choses sont bien différentes tout simplement parce parce que la jeunesse s'est détournée de ces clivages pour soutenir l'autonomie ou le nationalisme
    Alors on navigue à vue avec les natios plutôt à droite et bien à droite parfois, les autonmistes un peu plus à gauche pas toujours, les communistes bientôt disparus, les socialistes jamais implantés à Rutali, les gens de droite certainement les plus nombreux mais sans leader qui ne revendiquent rien et acceptent de cohabiter quoiqu'il arrive pour être dans le jeu ( comme poulidor) et les radicaux veillissants qui se mettent au centre sans trop s'éloigner de la gauche tradionnelle, tout cela est à géométrie bien variable selon les élections; et ensuite dans les réalisations quoi revendiquer comme étant de gauche , autonomiste ou de droite ???
    Alors on se retrouve sans boussole mais avec un leader, un vrai, le nouveau maire dont la tradition familiale voudrait qu'il soit de gauche mais dans ce contexte on ne saurait trop lui conseiller de se mouiller..dommage ou pas ??

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  14. Anonyme11:49

    la date 10 juillet 40

    Allez sur
    -loi constitutionnelle du 10/07/1940
    -Wikipedia
    -vote des pleins pouvoirs à Pétain
    -liste des parlementaires ayant voté

    contrairement à vous je n'affirme rien, sans vérifier.Et je vous signale que beaucoup des votants OUI,sont devenu des grands résistants à l'instar d'AM.

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  15. Anonyme19:00

    A M a été un résistant ,je le confirme aussi.

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  16. Anonyme19:05

    Si on ne se mouille jamais on est malgré soi (et en fonction des vents fréquents et des opportunismes) une belle girouette sans tête.

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  17. Anonyme19:09

    On affine ses positions ;c'est mieux ainsi.
    Le maire était et sera à jamais pour Rutali un excellent maire .
    a qui en a eu en a eu

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  18. Anonyme20:01

    Le Vieux Maire qui fait l'unanimité autour de sa personne, mériterait que l'on donne son nom à une place ou une rue du village. Ce serait la moindre des choses.
    Ce n'est pas parce que Dumè est son petit-fils qu'il doit hésiter à en prendre l'initiative, en consultant les rutalais s'il le faut.
    Rutali s'honorerait en rendant cet hommage à André Maroselli, personnage qui a marqué son époque dans son village et à l'extérieur.

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  19. Anonyme23:27

    Son illustre homonyme comme on l'a dit plus haut a une place à son nom. Il avait été ministre, bien sûr. Mais Rutali doit beaucoup au Vieux Maire André Maroselli et je rejoins tout à fait la proposition du précédent commentaire, je dirais même qu'il est étonnant que rien n'ait été fait jusqu'à présent dans ce sens.
    Mais il n'est pas trop tard pour réparer cet "oubli".

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  20. Anonyme10:29

    Je pense que Dumè même si il a le plus grand des respects pour son grand-père, ce qui est bien normal, a eu aussi un père qui a tenu évidemment une place prépondérante dans sa vie et dans la vie du village, il me semble. Alors laissez Dumè faire son travail puisque apparemment il le fait bien et regardons vers l'avenir. On ne peut comparer les époques et les tempéraments.Qui sait ce qu'auraient fait les uns ou les autres dans telle ou telle circonstance, nul ne le saura jamais. Comme vous dites tempi e tempi dans tous les sens.

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  21. Anonyme11:20

    On a tendance à oublier notre conseiller général Toussaint Chiarelli. C'était lui aussi une personnalité du village. A ce propos, j'ajouterai que bien qu'étant de la famille de la droite, il avait été ardemment soutenu par André Maroselli et tout le monde s'en était réjoui. Tempi e tempi.

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  22. Anonyme13:11

    Il ne s'agit aucunement de zapper François Maroselli, père de Dumè pour qui j'avais le plus grand respect, mais comme vous dites tempi e tempi et André Maroselli était là avant, alors si on veut être logique...

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  23. Anonyme14:13

    Personne ne compare d'autant plus que pour comparer il faut du temps au temps .Emu u tempu per vede.

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  24. Anonyme17:31

    Au conseil général Toussaint a siégé avec les radicaux, et a toujours soutenu François Giacobbi,en 75 ou 76 il a été battu par un candidat de droite(Casta), Ensuite il y a eut l'épisode de la sécession avant les municipales de 77 qui a animé la campagne municipale ,ce qui fait que la composition de ce conseil municipal, était disons un peu étrange car la liste n'a pas été facile a constituer.Qui est le monsieur barbu,trappu au dernier rang je ne le reconnais pas ?.

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  25. Anonyme23:02

    sur cette photo,le seul parent du ministe,est Pierre maroselli

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  26. Anonyme23:21

    Le Vieux Maire devait trouver un successeur au docteur Henri Cordoliani, conseiller général de gauche du canton de Muratu et rutalais.
    A l'époque, le canton était composé des villages suivants: Rutali, Muratu, Pieve, Rapale et Soriu.
    Droite et gauche réunies à Rutali, on était sûr d'avoir un conseiller général rutalais. André Maroselli eut l'idée de demander à Toussaint Chiarelli représentant de la droite à Rutali d'accepter de travailler avec lui et sa municipalité de gauche pour le bien du canton et de Rutali en particulier. En échange, Toussaint Chiarelli s'était engagé à siéger avec les radicaux et à appuyer fidèlement François Giaccobbi pour la présidence du Conseil Général.
    Le village a largement profité de cette union imaginée par André Maroselli. Avouez qu'il fallait y penser.

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  27. Anonyme23:23

    le jeune à gauche;henry mariotti,frère de françois
    tempi à tempi

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  28. Anonyme01:41

    A Rutali, les dirigeants étaient en avance, la pratique de la politique de "l'ouverture", on a su la faire très tôt. Ma chi tanti Sarkozy, et ça marchait.

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  29. Anonyme09:24

    le seul parent Pierre Maroselli ??,hum j'en vois un autre,demandez à François Colonna(lui même parent) avant de dire n'importe quoi.

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  30. Anonyme10:02

    ça s'était une belle équipe qui avait en plus gagné contre une liste "d'amis " dont certains avaient bien été choyés par le MAIRE (opposition en guise de remerciements sous prétexte de l'âge)
    Vecchiu Marinps
    Le barbu :Mr Bragoni

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  31. Anonyme19:35

    De l'âge et des promesses,mais il est vrai qu'en politique la promesse c'est la lune.On se comprend ,du moins les vieux,même de gauche.

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  32. Anonyme20:10

    Plus tard il y a eu une autre occasion d'un avoir un rutalais conseiller général mais là çà s'est passé d'une autre manière.

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  33. J'ai passé tous les commentaires qui nous sont parvenus. Mais je crains que nous ne rouvrions d'anciennes-de très anciennes- polémiques, aussi nous arrêterons là, si vous le voulez bien.

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