C est en effet bien triste et si difficile à admettre, tant de soins et d amour qui manquent desormais à ces terres comme ils manquent à nos coeurs... Plus le temps passe plus le manque de toi est terrible. La vie s organise mais ta voix, ton regard, ton sourire et ton amour me manqueront toujours aussi cruellement. A mon grand pere : je t aime.
Vraiment, je ne pensais pas ajouter à la douleur des familles lorsque, passant devant ces terrains, je me suis souvenu et j'ai rappelé tous les soins que leur prodiguaient les disparus. Se peut-il que trop souvent les meilleures intentions soient ainsi mal interprétées ou sciemment détournées ? C'était plutôt une modeste manifestation de sympathie, voyez-vous.
Au contraire c'est bien de ne pas les oublier ; moi aussi lorsque je vais à Rutali je ne peux m'empêcher de penser à Ange quand ma voiture arrive au niveau de son cher jardin.ana Fantomas
Voilà un bel exemple d'esprit tordu. Ce n'est pas faire mal aux familles que d'avoir une pensée pour les disparus en passant devant leurs jardins. Au contraire c'est rappeler à tous combien la vie est courte, et combien les entreprise humaines sont toujours à recommencer
... bien faire et laisser braire... M. Cuccu. Vous êtes sensible et sensé, merci pour votre blog que j'ai toujours plaisir à lire, dès le matin et le soir aussi avant de dormir. BM.
Mais U Cuccu a raison d'en parler de ces jardins ! Quand nous passons devant, nous "revoyons" Gilbert et Ange" Gilbert piochait son jardin, le retournait à la pelle-bêche (du moins je crois que ça s'appelle ainsi) et son travail était superbe. Et comment passer près du petit ruisseau et de la rigole sans y voir Ange en train d'en enlever soigneusement les feuilles. Merci de nous garder ces souvenirs grâce au blog.
C est en effet bien triste et si difficile à admettre, tant de soins et d amour qui manquent desormais à ces terres comme ils manquent à nos coeurs... Plus le temps passe plus le manque de toi est terrible. La vie s organise mais ta voix, ton regard, ton sourire et ton amour me manqueront toujours aussi cruellement. A mon grand pere : je t aime.
RépondreSupprimerCe n'est peut-être pas nécessaire de faire un peu plus de mal aux familles en portant l'accent sur cet état de fait.
RépondreSupprimerVraiment, je ne pensais pas ajouter à la douleur des familles lorsque, passant devant ces terrains, je me suis souvenu et j'ai rappelé tous les soins que leur prodiguaient les disparus. Se peut-il que trop souvent les meilleures intentions soient ainsi mal interprétées ou sciemment détournées ? C'était plutôt une modeste manifestation de sympathie, voyez-vous.
RépondreSupprimerAu contraire c'est bien de ne pas les oublier ; moi aussi lorsque je vais à Rutali je ne peux m'empêcher de penser à Ange quand ma voiture arrive au niveau de son cher jardin.ana
RépondreSupprimerFantomas
Voilà un bel exemple d'esprit tordu. Ce n'est pas faire mal aux familles que d'avoir une pensée pour les disparus en passant devant leurs jardins. Au contraire c'est rappeler à tous combien la vie est courte, et combien les entreprise humaines sont toujours à recommencer
RépondreSupprimerAh Cuccu! votre rôle n'est pas facile
RépondreSupprimer... bien faire et laisser braire... M. Cuccu.
RépondreSupprimerVous êtes sensible et sensé, merci pour votre blog que j'ai toujours plaisir à lire, dès le matin et le soir aussi avant de dormir.
BM.
Mais U Cuccu a raison d'en parler de ces jardins ! Quand nous passons devant, nous "revoyons" Gilbert et Ange"
RépondreSupprimerGilbert piochait son jardin, le retournait à la pelle-bêche (du moins je crois que ça s'appelle ainsi) et son travail était superbe. Et comment passer près du petit ruisseau et de la rigole sans y voir Ange en train d'en enlever soigneusement les feuilles. Merci de nous garder ces souvenirs grâce au blog.