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27 juin 2011

DES JARDINS ORPHELINS


Ceux de Gilbert et d'Ange, toujours si bien entretenus et si productifs,
aujourd'hui rendus aux herbes folles depuis la disparition de leurs propriétaires

8 commentaires:

  1. Caro22:45

    C est en effet bien triste et si difficile à admettre, tant de soins et d amour qui manquent desormais à ces terres comme ils manquent à nos coeurs... Plus le temps passe plus le manque de toi est terrible. La vie s organise mais ta voix, ton regard, ton sourire et ton amour me manqueront toujours aussi cruellement. A mon grand pere : je t aime.

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  2. Anonyme22:57

    Ce n'est peut-être pas nécessaire de faire un peu plus de mal aux familles en portant l'accent sur cet état de fait.

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  3. Vraiment, je ne pensais pas ajouter à la douleur des familles lorsque, passant devant ces terrains, je me suis souvenu et j'ai rappelé tous les soins que leur prodiguaient les disparus. Se peut-il que trop souvent les meilleures intentions soient ainsi mal interprétées ou sciemment détournées ? C'était plutôt une modeste manifestation de sympathie, voyez-vous.

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  4. Anonyme00:02

    Au contraire c'est bien de ne pas les oublier ; moi aussi lorsque je vais à Rutali je ne peux m'empêcher de penser à Ange quand ma voiture arrive au niveau de son cher jardin.ana
    Fantomas

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  5. Anonyme10:13

    Voilà un bel exemple d'esprit tordu. Ce n'est pas faire mal aux familles que d'avoir une pensée pour les disparus en passant devant leurs jardins. Au contraire c'est rappeler à tous combien la vie est courte, et combien les entreprise humaines sont toujours à recommencer

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  6. Anonyme11:27

    Ah Cuccu! votre rôle n'est pas facile

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  7. Anonyme07:40

    ... bien faire et laisser braire... M. Cuccu.
    Vous êtes sensible et sensé, merci pour votre blog que j'ai toujours plaisir à lire, dès le matin et le soir aussi avant de dormir.
    BM.

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  8. Catherine22:00

    Mais U Cuccu a raison d'en parler de ces jardins ! Quand nous passons devant, nous "revoyons" Gilbert et Ange"
    Gilbert piochait son jardin, le retournait à la pelle-bêche (du moins je crois que ça s'appelle ainsi) et son travail était superbe. Et comment passer près du petit ruisseau et de la rigole sans y voir Ange en train d'en enlever soigneusement les feuilles. Merci de nous garder ces souvenirs grâce au blog.

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