Voce di Rutali in Corsica
Forum de toutes les personnes qui aiment le village de Rutali (Hte Corse), qui l'habitent, en sont originaires ou simplement le connaissent.
31 juillet 2011
JOSE PINI expose pour la première fois à Rutali, alors qu'il a réalisé une centaine d'oeuvres monumentales pour des commandes publiques, que ses amateurs privés sont suisses, allemands, italiens, français, belges...
Né en Corse, il a étudié les beaux-arts à Ravenne, en Italie, il vit et travaille à Campu Magnu, en Hte Corse. Il s'est consacré à la sculture et aux reliefs dès 1990. Ce sont des spécimens de ces derniers qu'il expose dans la cave Alfonsi.
PREMIÈRES IMAGES D'UNE SUPERBE EXPOSITION
Les premiers visiteurs se sont tous accordés à dire que le cru 2011 de l'expo du Music'arte était assez exceptionnel. Vraiment une présentation de qualité, dont voici quelques premières images:
Celles d'ARMELLE qui évolue toujours dans le monde bienheureux de l'enfance, elle évolue bien puisque ses premières oeuvres exposées à Rutali ont tellement plu qu'aujourd'hui elle est installée comme artiste professionnelle et qu'elle expose en Corse et sur le Continent. Mais elle a conservé ce contact privilégié avec les enfants au travers de ses ateliers d'initiation qu' elle affectionne particulièrement.
(A SUIVRE)
UNE BIEN BELLE SOIREE
Comme il a été dit dans une courte présentation du président d'Opera: "Ils ont déja parcouru la plupart des pays d'Europe, ils sont allés plusieurs fois en Amerique, en Afrique, en Asie, ils sont attendus à la salle Pleyel à Paris et au Carnégie Hall de New-York et nous , à Rutali, nous ne les avions jamais entendus..!"Voilà qui est réparé pour le plus grand plaisir des présents dans une église comble. (Photo Ph L-T)
30 juillet 2011
29 juillet 2011
28 juillet 2011
27 juillet 2011
SAMEDI 30 JUILLET A 21H30 EN L'EGLISE SAN VITU (entrée: 10 euros)
BARBARA FURTUNA
Ici avec l'ensemble instrumental "l'Arpeggiata" dans mon chant préféré, extrait de "Via Crucis":
MARIA
26 juillet 2011
Nationalisation du canal de Suez
Le président égyptien Nasser, à qui les occidentaux viennent de refuser des crédits pour la construction de son grand barrage d'Assouan, nationalise le
canal de Suez. Jusque-là détenu par une compagnie internationale, le
contrôle du canal revient à l’Egypte. C’est un coup dur pour les
anciennes puissances coloniales (Angleterre, France). Elles poussent
alors Israël à lancer une guerre contre l'Egypte. Sous couvert de
protéger le canal, Français et Britanniques envoient des navires de guerre, des chasseurs-bombardiers et des parachutistes.
C'est un succès militaire, mais la pression internationale, essentiellement Russe et Américaine, exige et
obtient le départ de leurs troupes. Cette grande victoire politique fait
de Nasser le leader du monde arabe.
A la demande d'une fidèle lectrice et en hommage à cette grande chanteuse morte de ses excès, voici par AMY WHINEHOUSE
" Love is a losing game"
"You know, I'm no good"
LE LIVRE DU MARDI
Bonjour,
Vous l’avez sans doute remarqué,
j’ai beaucoup de goût pour la littérature américaine qu’on
pourrait qualifier de « rurale ». Elle a la saveur de
l’aventure, des grands espaces et des hommes aussi rudes et
sauvages que les paysages qu’ils habitent et les terres qu’ils
cultivent.
Le roman de Ron Rash : « Un pied au paradis » répond à tous ces critères. Il se passe
quelque part dans les Appalaches, au cours des années cinquante.
C’est un récit à cinq voix :
Cinq témoignages sur des évènements
dramatiques : Un homme disparaît : Holland Winchester. Il
revient de Corée avec des souvenirs douloureux plein la tête. Sa
mère a entendu un coup de feu et elle est sure qu’on l’a tué.
Le sherif Will Alexander, un enfant du pays, blessé par la vie,
soupçonne Billy Holcombe, un « taiseux », un paysan dur
à la tache, mais il n’a ni corps, ni mobile…
Billy, sa femme, leur fils, Le Shérif
et son adjoint, tous relateront à leur tour leur version des faits.
C’est une histoire de jalousie et de
vengeance sur fond de pays voué à la disparition : Une
compagnie d’électricité rachète peu à peu toutes les terres de
la vallée pour construire une retenue d’eau qui va engloutir les
fermes et les champs.
C’est un livre bien construit où il
est fortement question de terres, de traditions, de superstitions, de
vies brisées et d’espoirs déçus. Une écriture dense, une
langue qui colle au parler rural et qui rend les histoires « des
gens de peu » passionnantes et universelles. Un bon roman pour
l’ été. M.V.
25 juillet 2011
LE LOTO DE RUTALI-LOISIRS: UN SUCCES QUI NE SE DEMENT PAS:
Nous n'avons malheureusement pas de photo, mais comme d'habitude beaucoup de monde, en soirée, place de l'église, pour un Loto traditionnel, où le nombre et la richesse des lots attiraient les joueurs invétérés.Libellés : lheu
L'EXPO DES CREATEURS RUTALAIS
Une nouvelle rutalaise...qui n'a été visible que le matin! |
De Moulin père (Jean-Claude) à |
Moulin fils (Pierre-Etienne) |
Domi fait d'objets récuperés (ici un porte épingles de couturière) de ravissantes petites oeuvres d'art
Vellutini, comme une pierre bien taillée, a de multiples facettes !
Louise a fait de sa vieille maison familiale sa galerie |
François Balbinot: Du gris de la plûme pourBastia aux couleurs éclatantes de Calvi |
La nature elle-même sculpte pour Gilbert Chiarelli
En bas le maitre, au-dessus l'élève (doué): Boari
La peinture de Lucien Marcel outre un réalisme saisissant pourrait être qualifiée de gourmande...
Claudine Dias: un joli coup de crayon...ou de fusain