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24 août 2011

DAZIJOLI

13 commentaires:

  1. Anonyme14:53

    dsk est libre, ce soir je me couche en sifflant.
    un riche.

    Bonjour bel oiseau malin !
    Que viens-tu me siffler ce matin ?
    Do, ré, mi, facile de chanter,
    Quand de l’été tu n’as rien à glander…

    Sauter de branche en branche,
    Tout en sifflant en cadence !
    C’est le plus gros de ton boulot,
    À part celui de becqueter mes bigarreaux…

    D’ici peu, dans mon cerisier si beau,
    Je ne contemplerai que les noyaux !
    Do, ré, mi, facile de chanter,
    Quand chez les autres tu vas bouffer !

    Moralité :

    Il est plaisir d’écouter sérénades,
    Si celles-ci ne se transforment en salade.
    Méfiez-vous des beaux chanteurs,
    Qui lorgnent le fruit de votre labeur.
    Ceux-ci ne sentent pas la sueur !
    À bon entendeur…

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  2. Anonyme11:34

    Nous sommes encore en août, et les asters, lumière de l'automne, étalent déja leurs étoiles dans nos jardins . Bizarre !

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  3. Anonyme16:45

    Quand on n'a rien à dire et du mal à se taire,
    On peut toujours aller gueuler dans un bistrots,
    Parler de son voisin qui n'a pas fait la guerre,
    Parler de Boumedienne et de Fidel Castro,
    Parler parler parler... pour que l'air se déplace,
    Pour montrer qu'on sait vivre et qu'on a des façons,
    Parler de son ulcère ou bien des saints de glace,
    Pour fair' croire aux copains qu'on n'est pas le plus con.

    Quand on n'a rien à dire on parle de sa femme
    Qui ne vaut pas tripette et qui n'a plus vingt ans,
    Qui sait pas cuisiner, qui n'aime que le drame,
    Qui découche à tout va, qu'a sûrement des amants.
    On parle du Bon Dieu, on parle de la France
    Ou du Vittel-cassis qui vaut pas çui d'avant,
    On pense rien du tout on dit pas tout c' qu'on pense.
    Quand on n'a rien à dire on peut parler longtemps.

    Quand on n'a rien à dire on parle du Mexique
    De l'Amérique du Nord où tous les gens sont fous,
    Du Pape et du tiercé, des anti-alcooliques,
    Du cancer des fumeurs et des machines à sous,
    Des soldats des curés, d'la musiqu' militaire,
    De la soupe à l'oignon, de l'îl' de la Cité.
    Quand on n'a rien à dire et du mal à se taire
    On arrive au sommet de l'imbécilité.

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  4. Anonyme18:41

    c'est la fête à qui aujourd'hui.mais c'est bien sur celle de notre érudit ,notre cher LOUIS.
    bonne fête ,Louis.
    WB

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  5. Anonyme22:36

    Merci William.
    Amitiés:
    Louis

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  6. Anonyme01:44

    "Celui qui sait la vérité et ne gueule pas la vérité se fait le complice des escrocs et des faussaires".

    Charles PÉGUY

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  7. Anonyme14:20

    Quel dommage que l'auteur(les auteurs )de ces "délicieux" poèmes réalistes veuille rester anonyme !

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  8. Anonyme19:31

    LOUIS un prenom qui reviens a la mode......Bonne fete Louis!

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  9. Anonyme08:18

    l'auteur de "quand on a rien a dire" : Bernard Dimey encore un pour la route....
    Bernard Dimey

    [ Je sens qu' il va falloir... ]
    B.Dimey/J.Cayrecastel


    Je sens qu'il va falloir bientôt changer d'église
    Et changer de bistrots, de femmes et de copains,
    Tout de suite après boire aller faire sa valise.
    Fini le mal de vivre et de gagner son pain...

    Pourtant j'ai de la peine à sentir, à comprendre,
    Lorsque tout se défait, l'effet que ça fera...
    Je sens qu'il va falloir que je m'y laisse prendre,
    Un grand coup d'épouvante et tout s'engloutira.

    La vie c'est merveilleux, bien sûr quand c'est vivable.
    On se nourrit de peu, mais un peu tous les jours.
    Je voudrais vous offrir un gisant présentable...
    Je sens qu'il va falloir bientôt changer d'amour,

    Essayer de franchir la muraille du songe,
    De faire quelques pas tout seul et prudemment
    Parmi de purs esprits délivrés du mensonge,
    Irréels et présents, comme dans les romans...

    C'est assez rassurant d'imaginer la suite
    Et de s'y ménager le gîte et le couvert,
    Un paradis joyeux où l'on prendrait sa cuite
    Sans avoir à payer l'archange qui vous sert.

    Je sens que le jour vient de la nuit qui s'installe,
    Une superbe nuit, sans planète ni rien
    Où j'irai naviguer, visiter les étoiles
    Et parler de la terre où l'on était si bien.

    Il se pourrait fort bien que cette nuit peut-être
    Je m'écroule au milieu de ma salle de bains.
    N'allez pas réveiller les flicards ni les prêtres,
    Un simple coup de fil à deux ou trois copains...

    J'aime qu'on m'aime un peu, cela n'a rien d'étrange,
    Grâce à Dieu, quelques-uns le savaient par ici.
    Avant de m'en aller faire le con chez les anges,
    Dois-je vous dire adieu, au revoir ou merci ?

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  10. Anonyme09:09

    Poeme1/ de Racyne
    poeme2/ de Bernard Dimey

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  11. Anonyme09:58

    Louis ou Luigi, Luicu, Lovisu, Luisu, Lavighju en corse. Prénom issu du germain Hlodowig, du latin Ludovicus. Variantes Clovis, Aloïs, Aloysus, Ludovic, Luis, Ludwig, Lewis, Gino ….. Sans oublier le prénom féminin Louise. Ainsi que les composés : François-Louis, Jean-Louis, Pierre-Louis, Marie-Louise ….. Dérivés Luicola en corse, Loulou, Louison, Louisette en français ….. Nous allons peupler la Terre !!!

    Louis

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  12. Anonyme12:53

    Luiggi en langue corse

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  13. Anonyme15:09

    On a écrit par le passé Luiggi, Pariggi.
    Cela reste pour les patronymes.
    Pour le prénom, Scola corsa, l'ADECEC et autres ont adopté Luigi avec un g. Voir almanach corse.

    Luigi

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