En ces jours de beau temps,de moi on a beaucoup parlé, Ma couleur,il est vrai est assez décriée, Pourtant le jaune est clair et bien appareillé, Lumière il devient quand tout est allumé, Et à chacun il semble ensoleillé, Mais ma fonction première,de l'eau est de donner, Et jamais pour ma part ne cessera de couler, Car quelle que soit la couleur dont vous me sertirez, Toujours aux Rutalais,je veux continuer, D'une eau fraiche et pure,choisir de les récompenser. Aussi les querelles sont pour moi mal posées, Et à qui s'y adonne,je le prends en pitié, Ma raison est unique,et c'est de l'eau donner....
Ô toi, anonyme poète, pourquoi tant de modestie te pousse à ainsi te cacher ? À l'eau de la claire fontaine consentiras-tu à un peu te dévoiler Pour qu'enfin nous les Rutalais Puissions te chanter, t'honorer... Que ce soit sur le mode du "a", du "e", du "i"...et pourquoi pas du "é" Puisque cela de plaît !!! Allez, que soit enfin révélé Notre aède rutalais !!
Je ne résiste pas;pensez vous que c'est une addiction ?
A l'eau!..criait-on, Le soir à la fontaine ou,à l'unisson, Les chants s'élevaient en toutes façons, Canti nustrali,poèmes,chansons,... De toutes les origines et de tous horizons, Rappel des années quand l'air était si bon.. En guise de repas suffisait le jambon, Le ton était donné,et c'était le bon ton, Chacun de sa voix élargissait l'action, Tous chantaient pour louer le cochon, Qui nous avait donné prisuttu et saucisson... Louée aussi était la boisson, Du vin,du vin,du vin et des chansons!...
Tu appelles dit-tu ?....Et nous répondons, Que de vaines querelles ainsi éviterons, En rimant simplement,sans mauvaise intention.
Je propose,sur le blog,que les commentaires soient désormais rimés....
Ils serviraient ainsi à mieux voir les années, Qui s'écoulent sans vraiment changer la destinée, Et si de plus ils pouvaient être sensés, Et la vindicte comme la mauvaise foi abandonnées, Nous aurions des propos sans doute mieux étudiés, Ne laissant aux critiques qu'une place effacée, Permettant,de plus à chacun de bien s'amuser, En cherchant à tout prix à se faire publier. Ces paroles alors ne sauraient s'oublier, En tous temps elles nous pendraient au nez, Et chacun comme tous pourrait y avoir gagné....
Pour ces trois jours,je le jure Vous n'aurez pas à subir mon ecriture Car Rutali je rejoins et n'y dispose que de lecture. Pas d'internet mais n'en ai cure, Et si beau temps et air pur, En rien cela ne me parait dur, Que de faire jardin et Epicure, Surtout si les cerises sont bien mures. Mais comme cela n'est pas si sur, Peut être construirais-je un mur Qui me protegera du vent et de l'aventure, Permettant ainsi de mieux apprécier dame nature.
Et si les rimes vous ennuient, Pour le dire ,n'attendez pas la nuit....
Mauvaise réponse pour le commentaire de 9 29, A tout prendre,il aurait pu m'envoyer cuire un oeuf, Mais avec autant d'esprit qu'un boeuf, Sa seule réponse montre que rien n'est neuf, Et si les rimes l'ennuient et provoquent son ire, Tout simplement,il n'a qu'a ne pas les lire.
Qui est ce poète panthéiste qui enchante ou dérange les différents lecteurs de ce blog ..il est vrai que passé un certain temps, et face à un succès grandissant, l’auteur anonyme est nécessairement la victime plus ou moins consentante d’un jeu de devinettes....peu importe en fait, qui il est , si ses vers tellement évocateurs de rencontres issues d’un foisonnant et convivial voisinage (..) me rende impatient de savoir si ce bref séjour rutalais accentuera le coté «réalisme magique» qu’il me semble percevoir.
PS : a redécouvrir " le poète s'en va dans les champs" de Victor Hugo
L'un,l'autre,un troisième parfois, Dit:à qui sont ces rimes,un poète ma foi? De poète il n'est point,au mieux un rimeur qui sans effroi Un rimeur seulement qui,sans aucun octroi, Donne tout à chacun ce que de sa prose choit, Sans penser autrement,ce qui pour une fois, Ressemble à de l'altruisme et sans rien perdre au choix.
Un petit coup à l'eau de la fontaine ?
RépondreSupprimerLa fontaine des poêtes , d'accord !
RépondreSupprimerEn ces jours de beau temps,de moi on a beaucoup parlé,
RépondreSupprimerMa couleur,il est vrai est assez décriée,
Pourtant le jaune est clair et bien appareillé,
Lumière il devient quand tout est allumé,
Et à chacun il semble ensoleillé,
Mais ma fonction première,de l'eau est de donner,
Et jamais pour ma part ne cessera de couler,
Car quelle que soit la couleur dont vous me sertirez,
Toujours aux Rutalais,je veux continuer,
D'une eau fraiche et pure,choisir de les récompenser.
Aussi les querelles sont pour moi mal posées,
Et à qui s'y adonne,je le prends en pitié,
Ma raison est unique,et c'est de l'eau donner....
Toujours La Fontaine
...désolé,je n'ai pas pu m'empecher
RépondreSupprimer...de faire des rimes en é...
C'est gagné !
RépondreSupprimerIl faut se méfier des influences pyramidales.
RépondreSupprimerÔ toi, anonyme poète, pourquoi tant de modestie te pousse à ainsi te cacher ?
RépondreSupprimerÀ l'eau de la claire fontaine consentiras-tu à un peu te dévoiler
Pour qu'enfin nous les Rutalais
Puissions te chanter, t'honorer...
Que ce soit sur le mode du "a", du "e", du "i"...et pourquoi pas du "é"
Puisque cela de plaît !!!
Allez, que soit enfin révélé
Notre aède rutalais !!
Pas de revélation,le poète est discret,la poésie anonyme ...et l'eau et les vers pour tous...
RépondreSupprimerNotez cependant que "vers" est à double sens...
RépondreSupprimerEn vers. et contre tous !
RépondreSupprimerJe ne résiste pas;pensez vous que c'est une addiction ?
RépondreSupprimerA l'eau!..criait-on,
Le soir à la fontaine ou,à l'unisson,
Les chants s'élevaient en toutes façons,
Canti nustrali,poèmes,chansons,...
De toutes les origines et de tous horizons,
Rappel des années quand l'air était si bon..
En guise de repas suffisait le jambon,
Le ton était donné,et c'était le bon ton,
Chacun de sa voix élargissait l'action,
Tous chantaient pour louer le cochon,
Qui nous avait donné prisuttu et saucisson...
Louée aussi était la boisson,
Du vin,du vin,du vin et des chansons!...
Tu appelles dit-tu ?....Et nous répondons,
Que de vaines querelles ainsi éviterons,
En rimant simplement,sans mauvaise intention.
Je propose,sur le blog,que les commentaires soient désormais rimés....
RépondreSupprimerIls serviraient ainsi à mieux voir les années,
Qui s'écoulent sans vraiment changer la destinée,
Et si de plus ils pouvaient être sensés,
Et la vindicte comme la mauvaise foi abandonnées,
Nous aurions des propos sans doute mieux étudiés,
Ne laissant aux critiques qu'une place effacée,
Permettant,de plus à chacun de bien s'amuser,
En cherchant à tout prix à se faire publier.
Ces paroles alors ne sauraient s'oublier,
En tous temps elles nous pendraient au nez,
Et chacun comme tous pourrait y avoir gagné....
Tout contre !
RépondreSupprimeret d'un autre Valery :
RépondreSupprimerFontaine, ma fontaine, eau froidement présente,
Douce aux purs animaux, aux humains complaisante..
le texte complet (fragment du Narcisse) sur le lien
RépondreSupprimerhttp://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&sqi=2&ved=0CFAQFjAA&url=http%3A%2F%2Ffr.wikisource.org%2Fwiki%2FFragments_du_Narcisse&ei=eZa-T9LvF6LO0QXJv90k&usg=AFQjCNGx6Mi0ALWWH5P-blW2j-q4VbwKWg
le texte complet (fragment du Narcisse) sur le lien
RépondreSupprimerhttp://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&sqi=2&ved=0CFAQFjAA&url=http%3A%2F%2Ffr.wikisource.org%2Fwiki%2FFragments_du_Narcisse&ei=eZa-T9LvF6LO0QXJv90k&usg=AFQjCNGx6Mi0ALWWH5P-blW2j-q4VbwKWg
Pour ces trois jours,je le jure
RépondreSupprimerVous n'aurez pas à subir mon ecriture
Car Rutali je rejoins et n'y dispose que de lecture.
Pas d'internet mais n'en ai cure,
Et si beau temps et air pur,
En rien cela ne me parait dur,
Que de faire jardin et Epicure,
Surtout si les cerises sont bien mures.
Mais comme cela n'est pas si sur,
Peut être construirais-je un mur
Qui me protegera du vent et de l'aventure,
Permettant ainsi de mieux apprécier dame nature.
Et si les rimes vous ennuient,
Pour le dire ,n'attendez pas la nuit....
Oui les rimes m'ennuient et sans attendre la nuit
RépondreSupprimerUn seul grincheux ! (ou grincheuse) mais continue poête, tu enchantes et amuses les autres.
RépondreSupprimerMauvaise réponse pour le commentaire de 9 29,
RépondreSupprimerA tout prendre,il aurait pu m'envoyer cuire un oeuf,
Mais avec autant d'esprit qu'un boeuf,
Sa seule réponse montre que rien n'est neuf,
Et si les rimes l'ennuient et provoquent son ire,
Tout simplement,il n'a qu'a ne pas les lire.
l’en vers vaut surement l’endroit
RépondreSupprimerQui est ce poète panthéiste qui enchante ou dérange les différents lecteurs de ce blog ..il est vrai que passé un certain temps, et face à un succès grandissant, l’auteur anonyme est nécessairement la victime plus ou moins consentante d’un jeu de devinettes....peu importe en fait, qui il est , si ses vers tellement évocateurs de rencontres issues d’un foisonnant et convivial voisinage (..) me rende impatient de savoir si ce bref séjour rutalais accentuera le coté «réalisme magique» qu’il me semble percevoir.
PS : a redécouvrir " le poète s'en va dans les champs" de Victor Hugo
L'un,l'autre,un troisième parfois,
RépondreSupprimerDit:à qui sont ces rimes,un poète ma foi?
De poète il n'est point,au mieux un rimeur qui sans effroi
Un rimeur seulement qui,sans aucun octroi,
Donne tout à chacun ce que de sa prose choit,
Sans penser autrement,ce qui pour une fois,
Ressemble à de l'altruisme et sans rien perdre au choix.
Attendons l'épreuve des motos......entre autres bien sur !
RépondreSupprimerAh oui, dur, dur les motos! Espérons qu'ils seront moins agressivement bruyants cet été...
RépondreSupprimerUn sonnet monnosyllabique
RépondreSupprimerFort
Belle,
Elle
Dort;
Sort
Frêle!
Quelle
Mort!
Rose
Close,
La
Brise
L'a
Prise.
Un sonnet plus coquin..
HERCULE ET OMPHALE
Le cul
D'Omphale
Vaincu
S'affale.
-"Sens tu
Mon phalle
Aigu?
- "Quel mâle!...
Le chien
Me crève!...
Quel rêve?...
- Tiens bien?"
Hercule
L'encule.
Un que j'aime bien
PYRAME ET THISBE
Madame
Thisbé
Se pâme:
"Bébé"
Pyrame
Courbé
L'entame:
"Hébé!"
Ci-gît le prince Vibescu
Unique amant des onze mille verges
Mieux vaudrait, passant ! sois-en convaincu
Dépuceler les onze mille vierges
Etc...et tout ceci est d'Apollinaire..pas sérieux ces poétes....bc
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Juché sur une novice
RépondreSupprimerUn vieux capucin en rut
Lui fracassa la matrice
Et la pauvrette en mourut
Doit on donc pour homicde
Faire punir le frappard ?
Oui mes amis si on décide
Que la pine est un poignard !
Tu as raison bc pas sérieux Théophile !ad.(il faut avouer que"frappard"ça vaut son pesant de moutarde !)