Je reçois encore des messages anonymes, polémiques à l'égard du nouveau président, citant des chiffres invérifiables, et rabaissant le niveau du débat à celui des officines spécialisées, successeurs de celles qui parlaient de la "vaisselle d'or" de Blum ou de la "désertion" de Salengro... Décidément ça a du mal à passer ! Chacun connait mes opinions, pourtant vous aurez remarqué que ce blog a toujours observé une stricte neutralité. Alors je vous en prie, défoulez-vous sur Facebook, en signant vos "copier-coller" et autres "éléments de langage" mais faites comme moi: sur le blog on respecte l'opinion des autres et nous lui conserverons un caractère strictement convivial. Merci.
Après seulement quelques jours, Le rimeur est de retour Espérant que ses mots ne seront pas trop lourds
Pour tous ceux qui critiquent intensément, Et qui pourraient le faire bien plus modérément..
Mes parents m'ont appris lorsque j'étais enfant, Qu'en toute chose,pour bien faire,il fallait être patient. Aujourd'hui,à mon tour,je sais être conscient, Qu'à chacun ce principe devrait être important, Regarder,réfléchir,ce sont des éléments, Qui pour soi,sans appel deviennent résolument, Des aspects de la vie qui nous rendent confiants. Ce qui sans jeux de mots devient équivalent, A ce que La Fontaine nous disait finement: "Plus que force et que rage,font patience et longueur de temps" Aussi ce bel adage,dans sa définition prenant, Lui applique avec force un rajout insistant, Longueur de temps en sorte,devient étonnamment, Essentiel aux propos,aux actes,aux sentiments. Ainsi quel que domaine allez en s'engageant, Retenir les idées,prendre parfois des gants, Et surtout pour finir,parler bien doucement, Car parler,aboyer ou hennir en quelque agissement, Nous conduit sans détour à l'erreur souvent; Il nous faut devenir circonspects et prudents. Et conserver pour maxime ce conseil d'antan... Se souvenir aussi,et ce tout simplement, Qu'à tout prendre,à ce jour,nous voyons seulement, L'apparence des choses,et non leur fondement....
Il nous faut, du rimeur suivre l'enseignement Car la sagesse pointe dans son raisonnement Et la modération est un beau sentiment Qui nous conservera l'estime des perdants...
....Sans infléchir l'opinion des gagnants, Si gagnant il y a,car en ces temps, De crise et de problèmes,ou rien n'est amusant, Ou meme le printemps pleure en s'en allant, De vainqueur en tous points,ce serait étonnant. Pourquoi alors chercher l'agacement ? Quand chez nous tout au moins s'amusent les enfants....
Vous tous,les mécontents, veuillez changer de style Certes, au vin nouveau vous êtes bien hostiles Même si ce vin là est fort coupé à l’eau. Sachez que n’étant pas du tout du même rang Nous avons cependant et cinq années durant Sans hurler sans pleurer sans sonner l’hallali Bu de votre piquette et ce jusqu’à la lie. Il serait maintenant mieux séant et plus drôle D’accepter calmement cette inversion des rôles.
La lecture de ce poème m’a ramené dans la caverne de Platon et sur les différents éléments qui ne nous permettent pas ou plus de voir le réel : la paresse, la lâcheté, les désirs, les intérêts...et qui nous montre que tant que nous serons piégés par nos affects nous confondrons le vrai avec ce qu’il nous plait ou nous est utile de croire tel... Alors que faire pour nous changer amis rutalais si ce n’est «d’emprunter les yeux d’un peintre» car comme le dit Bergson « Voir avec des yeux de peintre, c’est voir mieux que le commun des mortels» (..) c’est celui qui mettra le feu à toutes ces conventions, celui qui méprisera l’usage pratique et les commodités de la vie et s’efforcera de voir directement la réalité même, sans rien interposer entre elle et lui, celui-là sera un artiste.
Gagnants ou bien perdants, il y en eut en tous temps Le gagnant d'aujourd'hui sera perdant demain Alors n'accablons pas ceux qui passent la main Mais comme dirait l'autre, laissons du temps au temps
Les socialistes ne sont pas rancuniers . Prendre Taubira dans le gouvernement, il fallait le faire . Avec Chevènement , elle a fait perdre Jospin . Elle va supprimer le tribunal correctionnel pour les mineurs de 16 à 18 ans; passibles de 3 ans de prison , et gracier les "algériens" qui avait brulé le drapeau tricolore . L'angélisme n'est pas mort . Pauvre nation .
Je ne sais pas si pour vous le blog est "la semaine de Suzette", mais je préfère cela a tout prendre que de le voir devenir : " je suis partout" "aspects de la France " " le crapouillot" ou "Minute". Lecteur assidu je n'y ai jamais lu d'insultes ou de calomnies à l'égard du Président sortant, ni par le fait du cuccu ni par des commentaires de lecteurs.
Comme dans la diatribe chacun se croit très bon, Sans doute pense t'il qu'il faut hausser le ton; L'anonymat aidant produit vite des torchons, Qui en un sens ou un autre,sont bons pour les cochons. Un moment cependant politique oublions, Pour ne penser qu'aux autres,car besoin ils en ont; Guerres,famines,catastrophes et malheurs à foison. Restons donc courtois et sereins,mais sachons, Qu'intelligence,au monde,jamais n'empêcherons, D'etre moins répandue que bêtise au balcon; C'est pourquoi,bien souvent,plus nombreux sont les C...
S.V.P.Ne mettos pas la poésie à toutes les sauces : les muses s;accomodent mal du quotidien et de la banalitéet prefèrent parfois que l'on rime ailleurs !?!? Bof!
Le comment de 18.02. Me sidène....je me suis demandé si j'avais révé....rien de désobligeant sur Sarko....alors je suis allé sur des dazibao de 2007. 08...09...pas triste...ou la mauvaise fois peut se nicher..d'ailleurs Cucù à eut raison de les publier comme il publiera ceux que nous concoctons sur H...
Ce n'est pas la poésie qui est mise à toutes les sauces,mais les sauces qui font poésie. De poésie d'ailleurs il n'en est point question lorsque l'on parle d'Hollande et Sarkozy, Le sujet est passé,parlons surtout de Rutali Et laissons là médisance et jalousie, Qui chez nous ne devraient faire leur lit
heureusement ou malheureusement, n'en désole le commentaire de 19 h 13, la poésie est je crois profondément loin d’être l’évasion et la fuite du réel, c’est ce qui nous ramène au plein cœur du réel..lisez si vous ne l'avez fait, le poème de frappe de Günter Grass contre Israël....
bonjour je constate que l'échange de parole et contrôlé garder je garde mon opinion nous jugeront dans cinq ans apprêt tout la moitié des électeurs on souhaitez revenir a une quatrième république après tout cela ne me dérange pas elle en dérangera bien plus !!! alors cher citoyen bon courage G Zuccarelli
le(triste)jour ou la poésie ne sera un moyen de s'évader d'un monde ou la réalité peut devenir pesante il ne nous restera plus qu'a lire Closer ou Voici!!(Aux W.C. faut pas pousser!)ad.
Pas d'accord AD,si la poesie (au moins les rimes) n'est pas le seul moyen d'échapper à un monde trop pesant,elle peut constituer un échappatoire....
Et des rimes en are? Cela devrait marcher car sommes toutes assez rares.... Un peu forcé quand meme car il n'est pas assez tard.
....Maitre Corbeau,un jour,emportant sa guitare, Vit un saumon sauter,Salmo Salar, Et se dit qu'à tout prendre il pourrait,comme lui passer pour un fetard. En usant cependant quelque peu de son art, Car art il y avait,n'en déplaise aux tetards, Qui trainaient çà et là,un peu comme des moutards, Que d'ailleurs ils étaient,sans conteste et sans fard,.. Ainsi Maitre Corbeau appela le Renard, Et lui dit,comme lui,mais devant le Canard, "Pourrais tu,mon ami,acheter un hectare ?" De rivières et de bois,afin que je me marre, A nager et sauter,comme un Salmo Salar; Le Renard,surpris,lui dit:"je ne peux,car".. Un flatteur,tu le sais,vit de tous à l'écart, Tu devrais demander plutôt à ce Canard, Qui ,chez lui en tous temps a fait sienne la mare. Le Canard répondit,qu'après tout un milliard, Serait bon prix,et qu'il n'était pas trop tard, Pour se lancer dans l'immobilier sans retard. Il conclut l'affaire et demanda des arrhes, Au Corbeau qui notre histoire,accapare, Sans laisser le Renard, Toujours prompt à allumer ses phares, Sortir de ses pensées et suivre son regard, Car Renard en effet pensait:si un hectare vaut un milliard, Combien alors vaut un are? et un centiare? Oubliant que des trois c'est lui le plus gaillard... Mais bien vite,il reprend et sans crier gare, Leur saute au cou,les occis aux trois-quarts; S'enfuit en emportant les arrhes,et sur le boulevard, Dit à chacun que l'immobilier n'est pas l'affaire des Canards... Ni celle des Corbeaux tous noirs... Moralité: L'immobilier pour les Renards, Pour les Canards,la mare, Pas de fromage pour les Corbeaux noirs, Qui restent une fois encore,au fond du placard.....
Je crois qu'en fait vous êtes d'accord avec ad,, c'est un problème de compréhension de négation.
Mais vous l' homme de l'are Je vous envoie au lupanar Rencontrer le frapprad L'infâme, l'homme du dard Astiqué au curare, Un comble au lupanar, Amateur de pommard , Le cigare En fanfare Mais toujours grand flemmard Sauf au plumard
Parce que comme dit Mathias Cassel, « Un esprit libre est un miroir, on préfère le voir à genoux », je vous invite à dépasser ce nom qui vous effraie tant et à vous questionner sur le pourquoi d’une telle réaction germanophone envers un homme allemand condamné par ses origines sur une vérité qui peut déranger...et à lire avec l’ouverture qui sied à tous les rutalais ce poème intitulé « Ce qui doit être dit »,...
J'invite les bloggers de Voce di Rutali à se procurer un dictionnaire de rimes. Ils pourront sans doute ainsi "poétiser" leurs commentaires, et ne pas laisser un seul "poète" monopoliser le site. "Poétisons, poétisons", c'est dans l'air du temps, LE CHANGEMENT C'EST MAINTENANT !!!
Tondeur de chats,mon ami, Plaisant métier qui te sourit, Aujourd'hui rimant,demain dans un lit. Toi qui jamais tes classiques n'oublies, Que ne serait tu pourtant mieux ici Fumant,buvant,fréquentant la lie, Tant au plumard qu'au lupanar,et puis Faisant tant danser les souris, De l'aube jusqu'à la nuit, En y mettant parfois le prix, Sans jamais trop d'efforts,sans jalousie Et parfois disons le ,avec poésie. Bientôt il faudra,je t'en avertis, Que tu changes,car chacun avec beaucoup d'envie, Te regarde et te juge,et toi,surpris, Comprend que le monde ne vit, Que par bétise,rancoeur et calomnie, Que Cuccu bien souvent ne publie Et que personnellement jamais ne relis Tant flagrant est le manque d'esprit...
Tirer les marrons du feu comme le singe avec la patte du chat : J'avais envie de nous dédier ce petit proverbe lié à une fable de La Fontaine, Le Singe et le Chat car j'ai cru percevoir à travers tous ces commentaires des amateurs de chats, des amoureux de Monsieur de la Fontaine, des rimeurs heureux, des lecteurs réprobateurs, et des renards pillards ...
Une petite fable,sans hésiter, Et comme La Fontaine,une prosopopée...
Un jour le lapin,devant se prosterner, Devant le Lion,roi de l'humanité, Attira l'attention de tous les invités, En disant tout de go,sans avoir prospecté: De l'or,Sire,de l'or pour votre Majesté! En creusant ma maison,j'en ai tant trouvé, Que voudrais-je aujourd'hui,de vous ,bénéficier En échange,d'un titre ou peut être un comté. Le Roi des animaux,furieux que l'on puisse marchander, Lui dit en grondant:Pourquoi voudrais-je un titre te donner? Tu m'appartiens;et l'or aussi est ma propriété! Qu'en ferais je d'ailleurs ? Je perçois trop ta vanité. Et veux ainsi te récompenser. Le Lapin,tout petit ne cherchait plus à imposer. Le Lion le croqua,bénéficiant ainsi,et à satiété, Du comte prématuré, Et de la viande fraiche,et de l'or trouvé. , Moralité:Si raison du plus fort,meilleure est supposée Avec les trop puissants mieux vaut ne marchander, Amitié,soumission,ni trésor,ni comté.
Annie, 5 ans, revient de l'école. Elle a eu sa première leçon sur les bébés. Sa mère, très intéressée, lui demande : - « Comment cette leçon s’’est-elle passée ? » Annie répond : - « J’étais morte de honte ! Paul dit qu’on peut acheter des bébés à l'orphelinat. Marie explique qu’on peut acheter des bébés à l'hôpital. Pierre dit qu’on peut aller acheter des bébés à l’étranger » Sa mère répond en riant : « Mais pourquoi étais-tu morte de honte ? » « Parce que je n’ai pas osé leur dire que mon papa et ma maman sont tellement pauvres qu’ils ont dû me faire eux-mêmes »
N’insulte pas le crocodile avant d‘avoir traversé la rivière (proverbe africain) pourrait être aussi la morale de cette fable fantaisiste ou bien - toujours mon coté matérialiste «deviens l’ami du lion pour devenir roi» , morale de la jolie légende africaine que je vous invite à lire :«l’ami du lion» de Denise Paulme dont le thème général est l’amitié entre un homme et un animal réputé féroce..
réponse au commentaire de 17 h 19 pillard ou paillard
Le renard, un âne ou un cochon ?
Pourquoi pas ? Hélas non je voulais bien dire pillard (allusion à l’immobilier dans le poème en «are») mais vous, ami de l’art, à quel paillard faites vous allusion (à celui qui couche dans la paille (1) ou, plus généralement, à celui qui emprunte les manières, le langage de ceux qui couchent dans la paille ????
Je reçois encore des messages anonymes, polémiques à l'égard du nouveau président, citant des chiffres invérifiables, et rabaissant le niveau du débat à celui des officines spécialisées, successeurs de celles qui parlaient de la "vaisselle d'or" de Blum ou de la "désertion" de Salengro...
RépondreSupprimerDécidément ça a du mal à passer !
Chacun connait mes opinions, pourtant vous aurez remarqué que ce blog a toujours observé une stricte neutralité. Alors je vous en prie, défoulez-vous sur Facebook, en signant vos "copier-coller" et autres "éléments de langage" mais faites comme moi: sur le blog on respecte l'opinion des autres et nous lui conserverons un caractère strictement convivial. Merci.
Tu as bien raison Marc et je te félicite pour ta neutralité.Mais certaines conneries je ne les laisserais pas passer.
RépondreSupprimerAprès seulement quelques jours,
RépondreSupprimerLe rimeur est de retour
Espérant que ses mots ne seront pas trop lourds
Pour tous ceux qui critiquent intensément,
Et qui pourraient le faire bien plus modérément..
Mes parents m'ont appris lorsque j'étais enfant,
Qu'en toute chose,pour bien faire,il fallait être patient.
Aujourd'hui,à mon tour,je sais être conscient,
Qu'à chacun ce principe devrait être important,
Regarder,réfléchir,ce sont des éléments,
Qui pour soi,sans appel deviennent résolument,
Des aspects de la vie qui nous rendent confiants.
Ce qui sans jeux de mots devient équivalent,
A ce que La Fontaine nous disait finement:
"Plus que force et que rage,font patience et longueur de temps"
Aussi ce bel adage,dans sa définition prenant,
Lui applique avec force un rajout insistant,
Longueur de temps en sorte,devient étonnamment,
Essentiel aux propos,aux actes,aux sentiments.
Ainsi quel que domaine allez en s'engageant,
Retenir les idées,prendre parfois des gants,
Et surtout pour finir,parler bien doucement,
Car parler,aboyer ou hennir en quelque agissement,
Nous conduit sans détour à l'erreur souvent;
Il nous faut devenir circonspects et prudents.
Et conserver pour maxime ce conseil d'antan...
Se souvenir aussi,et ce tout simplement,
Qu'à tout prendre,à ce jour,nous voyons seulement,
L'apparence des choses,et non leur fondement....
Il nous faut, du rimeur suivre l'enseignement
RépondreSupprimerCar la sagesse pointe dans son raisonnement
Et la modération est un beau sentiment
Qui nous conservera l'estime des perdants...
....Sans infléchir l'opinion des gagnants,
RépondreSupprimerSi gagnant il y a,car en ces temps,
De crise et de problèmes,ou rien n'est amusant,
Ou meme le printemps pleure en s'en allant,
De vainqueur en tous points,ce serait étonnant.
Pourquoi alors chercher l'agacement ?
Quand chez nous tout au moins s'amusent les
enfants....
....Et bravo à qui rime,car c'est enchantement
RépondreSupprimerVous tous,les mécontents, veuillez changer de style
RépondreSupprimerCertes, au vin nouveau vous êtes bien hostiles
Même si ce vin là est fort coupé à l’eau.
Sachez que n’étant pas du tout du même rang
Nous avons cependant et cinq années durant
Sans hurler sans pleurer sans sonner l’hallali
Bu de votre piquette et ce jusqu’à la lie.
Il serait maintenant mieux séant et plus drôle
D’accepter calmement cette inversion des rôles.
Cela s’appelle aussi :
Démocratie
RC
La lecture de ce poème m’a ramené dans la caverne de Platon et sur les différents éléments qui ne nous permettent pas ou plus de voir le réel : la paresse, la lâcheté, les désirs, les intérêts...et qui nous montre que tant que nous serons piégés par nos affects nous confondrons le vrai avec ce qu’il nous plait ou nous est utile de croire tel...
RépondreSupprimerAlors que faire pour nous changer amis rutalais si ce n’est «d’emprunter les yeux d’un peintre» car comme le dit Bergson « Voir avec des yeux de peintre, c’est voir mieux que le commun des mortels» (..) c’est celui qui mettra le feu à toutes ces conventions, celui qui méprisera l’usage pratique et les commodités de la vie et s’efforcera de voir directement la réalité même, sans rien interposer entre elle et lui, celui-là sera un artiste.
C'est ça la semaine de Suzette...mais il me semble en avoir vu certaine sur Sarko...oh je dois avoir mauvais esprit...la neutralité c'est sacré
RépondreSupprimerGagnants ou bien perdants, il y en eut en tous temps
RépondreSupprimerLe gagnant d'aujourd'hui sera perdant demain
Alors n'accablons pas ceux qui passent la main
Mais comme dirait l'autre, laissons du temps au temps
Les socialistes ne sont pas rancuniers . Prendre Taubira dans le gouvernement, il fallait le faire .
RépondreSupprimerAvec Chevènement , elle a fait perdre Jospin .
Elle va supprimer le tribunal correctionnel pour les mineurs de 16 à 18 ans; passibles de 3 ans de prison , et gracier les "algériens" qui avait brulé le drapeau tricolore .
L'angélisme n'est pas mort . Pauvre nation .
Je ne sais pas si pour vous le blog est "la semaine de Suzette", mais je préfère cela a tout prendre que de le voir devenir : " je suis partout" "aspects de la France " " le crapouillot" ou "Minute". Lecteur assidu je n'y ai jamais lu d'insultes ou de calomnies à l'égard du Président sortant, ni par le fait du cuccu ni par des commentaires de lecteurs.
RépondreSupprimerComme dans la diatribe chacun se croit très bon,
RépondreSupprimerSans doute pense t'il qu'il faut hausser le ton;
L'anonymat aidant produit vite des torchons,
Qui en un sens ou un autre,sont bons pour les cochons.
Un moment cependant politique oublions,
Pour ne penser qu'aux autres,car besoin ils en ont;
Guerres,famines,catastrophes et malheurs à foison.
Restons donc courtois et sereins,mais sachons,
Qu'intelligence,au monde,jamais n'empêcherons,
D'etre moins répandue que bêtise au balcon;
C'est pourquoi,bien souvent,plus nombreux sont les C...
S.V.P.Ne mettos pas la poésie à toutes les sauces : les muses s;accomodent mal du quotidien et de la banalitéet prefèrent parfois que l'on rime ailleurs !?!? Bof!
RépondreSupprimerLe comment de 18.02. Me sidène....je me suis demandé si j'avais révé....rien de désobligeant sur Sarko....alors je suis allé sur des dazibao de 2007. 08...09...pas triste...ou la mauvaise fois peut se nicher..d'ailleurs Cucù à eut raison de les publier comme il publiera ceux que nous concoctons sur H...
RépondreSupprimerCe n'est pas la poésie qui est mise à toutes les sauces,mais les sauces qui font poésie.
RépondreSupprimerDe poésie d'ailleurs il n'en est point question lorsque l'on parle d'Hollande et Sarkozy,
Le sujet est passé,parlons surtout de Rutali
Et laissons là médisance et jalousie,
Qui chez nous ne devraient faire leur lit
heureusement ou malheureusement, n'en désole le commentaire de 19 h 13, la poésie est je crois
RépondreSupprimerprofondément loin d’être l’évasion et la fuite du réel, c’est ce qui nous ramène au plein cœur du réel..lisez si vous ne l'avez fait, le poème de frappe de Günter Grass contre Israël....
Gunter Grrass : son nom me coupe l'envie!
RépondreSupprimerbonjour je constate que l'échange de parole et contrôlé garder je garde mon opinion nous jugeront dans cinq ans apprêt tout la moitié des électeurs on souhaitez revenir a une quatrième république après tout cela ne me dérange pas elle en dérangera bien plus !!! alors cher citoyen bon courage
RépondreSupprimerG Zuccarelli
le(triste)jour ou la poésie ne sera un moyen de s'évader d'un monde ou la réalité peut devenir pesante il ne nous restera plus qu'a lire Closer ou Voici!!(Aux W.C. faut pas pousser!)ad.
RépondreSupprimerPas d'accord AD,si la poesie (au moins les rimes) n'est pas le seul moyen d'échapper à un monde trop pesant,elle peut constituer un échappatoire....
RépondreSupprimerEt des rimes en are?
Cela devrait marcher car sommes toutes assez rares....
Un peu forcé quand meme car il n'est pas assez tard.
....Maitre Corbeau,un jour,emportant sa guitare,
Vit un saumon sauter,Salmo Salar,
Et se dit qu'à tout prendre il pourrait,comme lui passer pour un fetard.
En usant cependant quelque peu de son art,
Car art il y avait,n'en déplaise aux tetards,
Qui trainaient çà et là,un peu comme des moutards,
Que d'ailleurs ils étaient,sans conteste et sans fard,..
Ainsi Maitre Corbeau appela le Renard,
Et lui dit,comme lui,mais devant le Canard,
"Pourrais tu,mon ami,acheter un hectare ?"
De rivières et de bois,afin que je me marre,
A nager et sauter,comme un Salmo Salar;
Le Renard,surpris,lui dit:"je ne peux,car"..
Un flatteur,tu le sais,vit de tous à l'écart,
Tu devrais demander plutôt à ce Canard,
Qui ,chez lui en tous temps a fait sienne la mare.
Le Canard répondit,qu'après tout un milliard,
Serait bon prix,et qu'il n'était pas trop tard,
Pour se lancer dans l'immobilier sans retard.
Il conclut l'affaire et demanda des arrhes,
Au Corbeau qui notre histoire,accapare,
Sans laisser le Renard,
Toujours prompt à allumer ses phares,
Sortir de ses pensées et suivre son regard,
Car Renard en effet pensait:si un hectare vaut un milliard,
Combien alors vaut un are? et un centiare?
Oubliant que des trois c'est lui le plus gaillard...
Mais bien vite,il reprend et sans crier gare,
Leur saute au cou,les occis aux trois-quarts;
S'enfuit en emportant les arrhes,et sur le boulevard,
Dit à chacun que l'immobilier n'est pas l'affaire des Canards...
Ni celle des Corbeaux tous noirs...
Moralité:
L'immobilier pour les Renards,
Pour les Canards,la mare,
Pas de fromage pour les Corbeaux noirs,
Qui restent une fois encore,au fond du placard.....
Mais c'est une échappatoire....
RépondreSupprimerA écrire sans relire,on dirait que j'ai fumé un pétard,
malgré une morale en fanfare....
Je crois qu'en fait vous êtes d'accord avec ad,,
RépondreSupprimerc'est un problème de compréhension
de négation.
Mais vous l' homme de l'are
Je vous envoie au lupanar
Rencontrer le frapprad
L'infâme, l'homme du dard
Astiqué au curare,
Un comble au lupanar,
Amateur de pommard ,
Le cigare
En fanfare
Mais toujours grand flemmard
Sauf au plumard
Le tondeur de chat..
Pour le commentaire de 12H 24
RépondreSupprimerParce que comme dit Mathias Cassel, « Un esprit libre est un miroir, on préfère le voir à genoux », je vous invite à dépasser ce nom qui vous effraie tant et à vous questionner sur le pourquoi d’une telle réaction germanophone envers un homme allemand condamné par ses origines sur une vérité qui peut déranger...et à lire avec l’ouverture qui sied à tous les rutalais ce poème intitulé « Ce qui doit être dit »,...
Tondeur de chat mon ami tu me fais du bien.....serions nous "les derniers poètes"??Le rèveur de chattes..
RépondreSupprimerJ'invite les bloggers de Voce di Rutali à se procurer un dictionnaire de rimes. Ils pourront sans doute ainsi "poétiser" leurs commentaires, et ne pas laisser un seul "poète" monopoliser le site.
RépondreSupprimer"Poétisons, poétisons", c'est dans l'air du temps, LE CHANGEMENT C'EST MAINTENANT !!!
Tondeur de chats,mon ami,
RépondreSupprimerPlaisant métier qui te sourit,
Aujourd'hui rimant,demain dans un lit.
Toi qui jamais tes classiques n'oublies,
Que ne serait tu pourtant mieux ici
Fumant,buvant,fréquentant la lie,
Tant au plumard qu'au lupanar,et puis
Faisant tant danser les souris,
De l'aube jusqu'à la nuit,
En y mettant parfois le prix,
Sans jamais trop d'efforts,sans jalousie
Et parfois disons le ,avec poésie.
Bientôt il faudra,je t'en avertis,
Que tu changes,car chacun avec beaucoup d'envie,
Te regarde et te juge,et toi,surpris,
Comprend que le monde ne vit,
Que par bétise,rancoeur et calomnie,
Que Cuccu bien souvent ne publie
Et que personnellement jamais ne relis
Tant flagrant est le manque d'esprit...
Je le crains..c'est le manque d'humoiur aussi qui me catastrophe ...enfin tenons nous en à notre devise ..Mieux vaut queutard que jamais.... Chapelé
RépondreSupprimerVie
RépondreSupprimerUn matin à espérer
le soir à nous méconnaître
tout une vie à renaître
toute une nuit à sombrer
Une aurore à nous aimer
tout un jour à paraître
devoir être ou ne pas être
une mort à consommer
Un coeur sec qui nous effondre
un néant où nous confondre
un enfer à partager
Une corde pour nous pendre
un dégoût à nous ronger
même pas une âme à rendre..
Le petit chat est mort pas vrai Agnès...
Dieu que c'est triste ! Vit-ve Chapelé!!
RépondreSupprimerTirer les marrons du feu comme le singe avec la patte du chat : J'avais envie de nous dédier ce petit proverbe lié à une fable de La Fontaine, Le Singe et le Chat car j'ai cru percevoir à travers tous ces commentaires
RépondreSupprimerdes amateurs de chats,
des amoureux de Monsieur de la Fontaine,
des rimeurs heureux,
des lecteurs réprobateurs, et des renards pillards ...
Une petite fable,sans hésiter,
RépondreSupprimerEt comme La Fontaine,une prosopopée...
Un jour le lapin,devant se prosterner,
Devant le Lion,roi de l'humanité,
Attira l'attention de tous les invités,
En disant tout de go,sans avoir prospecté:
De l'or,Sire,de l'or pour votre Majesté!
En creusant ma maison,j'en ai tant trouvé,
Que voudrais-je aujourd'hui,de vous ,bénéficier
En échange,d'un titre ou peut être un comté.
Le Roi des animaux,furieux que l'on puisse marchander,
Lui dit en grondant:Pourquoi voudrais-je un titre te donner?
Tu m'appartiens;et l'or aussi est ma propriété!
Qu'en ferais je d'ailleurs ? Je perçois trop ta vanité.
Et veux ainsi te récompenser.
Le Lapin,tout petit ne cherchait plus à imposer.
Le Lion le croqua,bénéficiant ainsi,et à satiété,
Du comte prématuré,
Et de la viande fraiche,et de l'or trouvé.
,
Moralité:Si raison du plus fort,meilleure est supposée
Avec les trop puissants mieux vaut ne marchander,
Amitié,soumission,ni trésor,ni comté.
Annie, 5 ans, revient de l'école.
RépondreSupprimerElle a eu sa première leçon sur les bébés.
Sa mère, très intéressée, lui demande :
- « Comment cette leçon s’’est-elle passée ? »
Annie répond :
- « J’étais morte de honte ! Paul dit qu’on peut acheter des bébés à l'orphelinat. Marie explique qu’on peut acheter des bébés à l'hôpital. Pierre dit qu’on peut aller acheter des bébés à l’étranger »
Sa mère répond en riant :
« Mais pourquoi étais-tu morte de honte ? »
« Parce que je n’ai pas osé leur dire que mon papa et ma maman sont tellement pauvres qu’ils ont dû me faire eux-mêmes »
commentaire pour la prosopopée des animaux
RépondreSupprimerN’insulte pas le crocodile avant d‘avoir traversé la rivière (proverbe africain) pourrait être aussi la morale de cette fable fantaisiste ou bien - toujours mon coté matérialiste «deviens l’ami du lion pour devenir roi» , morale de la jolie légende africaine que je vous invite à lire :«l’ami du lion» de Denise Paulme dont le thème général est l’amitié entre un homme et un animal réputé féroce..
Faute de frappe rimailleur.....'tu voulais (probablement) dire....des renards paillards?!?!
RépondreSupprimerréponse au commentaire de 17 h 19 pillard ou paillard
RépondreSupprimerLe renard, un âne ou un cochon ?
Pourquoi pas ? Hélas non je voulais bien dire pillard (allusion à l’immobilier dans le poème en «are») mais vous, ami de l’art, à quel paillard faites vous allusion (à celui qui couche dans la paille (1) ou, plus généralement, à celui qui emprunte les manières, le langage de ceux qui couchent dans la paille ????
(1) le vieillard et l'âne de Jean de la Fontaine
Paillard : qui mène une vie dissolue et joyeuse et très porté sur les plaisirs de la chair.(Ex : moine paillard.)
RépondreSupprimerFrère Denise serait il votre moine paillard écrit par Rutebeuf ???
RépondreSupprimerVous voulez dire Frère Denyse ? Pourquoi pas ?
RépondreSupprimer