05 juillet 2007

On dit que la tomate
favorise le transit...
mais, avec César,
nous pouvons
vous affirmer que
le transit favorise
la tomate !

Le bassin de décantation
de la station d' épuration
est une véritable pépinière
de plants de tomates.
Toutes les variétés y sont représentées.
Mais quand on songe au circuit qui
les a amenées jusqu'ici...

14 commentaires:

À 08:14 , Anonymous Anonyme a dit...

Ben,mon colon,ça restera dans les annales.


kabelne

 
À 10:04 , Anonymous Anonyme a dit...

Quand on réalise avec quelle facilité poussent les tomates, on se demande ce qui justifie les prix parfois exorbitants pratiqués par certains commerçants... en pleine saison ? ! Et en plus, la plupart des tomates actuelles n'ont aucun goût !!!
C'est pourtant bon une bonne "tomate" de jardin... n'est-ce pas, César !
D.D.

 
À 17:46 , Anonymous Anonyme a dit...

Ben mon colon,ça va rester dans les annales.

kabelne

 
À 21:51 , Blogger U cuccu a dit...

Cet humour me dit quelque chose, kabelne...

 
À 23:04 , Anonymous Anonyme a dit...

"annales" : avec 1 "n" ou avec 2 "n" ? !
BEURK

 
À 06:56 , Anonymous Anonyme a dit...

vous voulez dire les anales?
scat...

 
À 11:16 , Anonymous Anonyme a dit...

C'est un jeu de mots laid pour les gens bètes

 
À 12:45 , Anonymous Anonyme a dit...

Il faudrait pouvoir lire dans les anales mais seul les annales le permettent.
CAPIT HEMO

 
À 16:15 , Anonymous Anonyme a dit...

non non,c'est pour faire râler les honnètes gens comme le hareng saur....de Ch Cros

 
À 19:34 , Anonymous Anonyme a dit...

c'est d'une nullité abracabrantesque...

 
À 22:21 , Anonymous Anonyme a dit...

abracadabrantesque !!!

 
À 08:38 , Anonymous Anonyme a dit...

Le hareng saur

Il était un grand mur blanc , nu, nu, nu,
Contre le mur une échelle , haute, haute, haute,
Et, par terre, un hareng saur , sec, sec, sec.

Il vient, tenant dans ses mains , sales, sales, sales,
Un marteau lourd, un grand clou , pointu, pointu, pointu,
Un peloton de ficelle , gros, gros, gros.

Alors il monte à l'échelle , haute, haute, haute,
Et plante le clou pointu , toc, toc, toc,
Tout en haut du grand mur blanc , nu, nu, nu
.
Il laisse aller le marteau ,qui tombe, qui tombe, qui tombe,
Attache au clou la ficelle , longue, longue, longue,
Et, au bout, le hareng saur , sec, sec, sec.

Il redescend de l'échelle , haute, haute, haute,
L'emporte avec le marteau , lourd, lourd, lourd,
Et puis, il s'en va ailleurs ,loin, loin, loin.

Et depuis, le hareng saur ,sec, sec, sec,
Au bout de cette ficelle ,longue, longue, longue,
Très lentement se balance , toujours, toujours, toujours.

J’ai composé cette histoire,simple,simple,simple
Pour mettre en fureur les gens ,graves,graves,graves,
Et amuser les enfants,petits,petits,petits…….

Charles Cros.

Jean Marc Tennberg (pour les anciens..) le récitait à merveille.


A tous ceux que l'ouverture au centre met en fureur ,je leur dédie le poéme de Charles Cros que cite un humoriste inconnu.
bc

 
À 15:30 , Anonymous Anonyme a dit...

Merci "bc" de nous offrir ce hareng saur. Nous le partagerons avec mes petits-enfants qui sont friands de bonnes choses, choses, choses...
D.D.

 
À 08:10 , Anonymous Anonyme a dit...

...mais également amateurs de choses bonnes, bonnes, bonnes.
D.D.

 

Enregistrer un commentaire

Abonnement Publier les commentaires [Atom]

<< Accueil