18 juillet 2011

Milicienne républicaine
1936
le 18 juillet

La guerre 
de 1936
Le chef du parti monarchiste espagnol, Jose Calvo Sotelo, est assassiné. Les militaires déclenchent un coup d'Etat contre la République démocratiquement élue. La guerre civile enflamme rapidement le pays. Si les démocraties choisissent la neutralité, l'Allemagne d'Hitler et l'Italie de Mussolini n'ont pas ce genre d'état d'âme ; elles s'engagent du côté des putschistes. La République doit se contenter d'une aide soviétique pesante et coûteuse et de l'engagement d'individus de tous pays qui se constituent en Brigades internationales. La guerre mondiale qui se profile à l'horizon fait sa grande répétition dans la péninsule ibérique. En 1939, la République est écrasée dans le sang et le général Franco impose sa dictature. 600.000 morts attestent de la violence des combats ; constante des guerres fratricides. 
L'Espagne paie le prix fort, des deux côtés du front ce sont ses "fils" qui tombent.

3 commentaires:

À 17:15 , Anonymous Anonyme a dit...

Un beau visage, celui de la République confisquée.

 
À 13:49 , Blogger Fullettu a dit...

La phrase espagnole ¡No pasarán!, signifiant « Ils ne passeront pas ! », a été prononcée par les partisans de la Seconde République espagnole (1936-1939) en lutte contre les rebelles nationalistes commandés par le général Franco, dont le soulèvement le 18 juillet 1936 déclencha la guerre civile espagnole. Ce célèbre slogan reste associé à Dolores Ibárruri Gómez (1895 - 1989), dite la Pasionaria, qu'elle ait été la première à l'utiliser ou pas, par la vigueur avec laquelle celle-ci le proclama dès le premier jour de la lutte dans un discours radio-diffusé, puis dans Madrid assiégé quelques mois plus tard, période durant laquelle ce slogan devint le cri de ralliement des républicains espagnols

 
À 20:00 , Anonymous Anonyme a dit...

Mais ils sont passés......
Et il y a eu Guernica ..Et Picasso en a fait un tableau magnifique.. Et il a toujours refusé de le laisser exposer en Espagne tant que Franco était vivant.. C'est ça non? Et bien après la guerre à un allemand qui s'extasiait devant ce tableau et qui lui demandait si c'était lui qui avait fait Ça, il répondit: "Non, c'est vous qui avez fait ça" "M.V.

 

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