18 novembre 2007

MADELEINE PEYROUX: Libération écrit d’elle: “C’est un secret de Polichinelle : Madeleine Peyroux est givrée.” En 1996 déjà, âgée de 22 ans, elle sillonne les Etats-Unis, en compagnie de la folkeuse canadienne Sarah McLachlan, et durant plusieurs années, elle chante Bessie Smith et Piaf sur les trottoirs de la rue de Buci ou dans le métro de Paris. Elle devient rapidement une “grosse pointure” puisqu’elle elle vend 200 000 exemplaires de son album rien que dans l’Hexagone. Bref, Madeleine Peyroux était «en route vers la gloire», quand, subitement, elle disparut du paysage musical. Pendant huit ans, elle ne donnera plus signe de vie, jusqu’à ce jour où, profitant sans doute de l’engouement suscité par l’avènement de Norah Jones, son nom réapparaissait dans les bacs, comme s’il ne s’était rien passé. Voici deux standards repris par elle: (Merci à tupinetta qui me les avait fait connaitre en leur temps) “Dance me to the end” et surtout, avec ce délicieux petit accès américain, ce “J’ai deux amours” de Joséphine Baker, sauf que "Ma savane est belle" y devient "Manhattan est belle" Chacune sa jungle...

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