ça s'est passé un 19 mai
en 1974
GISCARD A LA BARRE !
Valéry Giscard d'Estaing est élu président de la République. Avec 50,81 % des voix, il remporte de justesse l'élection face à François Mitterrand (49,19%). Cette élection a fortement mobilisé les citoyens dans les urnes avec un taux de participation de 84,2 % au premier tour puis 87,3 % au second. Le débat entre les deux hommes a été marqué par la fameuse phrase de Valéry Giscard d' Estaing : "Vous n'avez pas le monopole du coeur". A l'âge de 48 ans, il devient donc le troisième président de la Ve République. Il ne fera qu'un seul mandat, Francois Mitterrand obtenant sa revanche en 1981.
Valéry Giscard d'Estaing est élu président de la République. Avec 50,81 % des voix, il remporte de justesse l'élection face à François Mitterrand (49,19%). Cette élection a fortement mobilisé les citoyens dans les urnes avec un taux de participation de 84,2 % au premier tour puis 87,3 % au second. Le débat entre les deux hommes a été marqué par la fameuse phrase de Valéry Giscard d' Estaing : "Vous n'avez pas le monopole du coeur". A l'âge de 48 ans, il devient donc le troisième président de la Ve République. Il ne fera qu'un seul mandat, Francois Mitterrand obtenant sa revanche en 1981.
4 commentaires:
Le départ de Giscard à la télévision quand il a dit " au revoir" a marqué les esprits et a fait beaucoup rire aussi. Avouons que c'était assez ridicule.
François Mitterrand à Giscard d'Estaing en 1981:
" Vous avez tendance un peu à reprendre le refrain d’il y a sept ans : L’homme du passé…
C’est quand même ennuyeux que dans l’intervalle vous soyez devenu, vous, l’homme du passif… "
Une des phrases restées fameuses lors de ce débat
moi, mitterrand seul au panthéon,la rose à la main,ça m'a fait encore plus rire.La rose sur le tombeau de Jaures. il aurait pu aussi lui laisser sa francisque.Et ce que l'on ne savait pas c'est que cela aller entrainer la France dans un gouffre dont elle ne se relève pas.Dks
Sarkozy face aux pêcheurs et au Salon de l'Agriculture, c'est la grande CLASSE.
Et ce n'est pas fini, PUTAIN, encore quatre ans.
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