05 novembre 2008

LE 44iè PRÉSIDENT DES ETATS-UNIS barack-obama-devant-le-capitole.1206907718

32 commentaires:

À 05:00 , Blogger a rondina a dit...

Tu es courageux, Cuccu. C'est presque fait, maaais il vaudrait mieux attendre d'être complètement sûr.
Enfin, souhaitons que tu aies raison.
On croise les doigts.

 
À 05:02 , Blogger a rondina a dit...

La photo est magnifique et très symbolique.
Ce serait vraiment un beau président.

 
À 05:13 , Blogger a rondina a dit...

OBAMA PRESIDENT

A l'heure où j'écris ces lignes il a 297 électeurs.
Il lui en fallait 270.

 
À 10:50 , Anonymous Anonyme a dit...

Bravo !
Espérons qu'il fasse mieux que W.
En attendant, sa victoire a fait remonter la Bourse !!!

Cathline

 
À 12:01 , Anonymous Anonyme a dit...

Aujourd'hui elle baisse pour le moment

 
À 12:54 , Blogger a rondina a dit...

" I have a dream" said Martin Luther King.
Ce rêve est largement réalisé.
Les larmes du Révérend Jackson étaient la nuit dernière révélatrices des sentiments éprouvés par la majorité des américains.

La victoire d'Obama est aussi la victoire de l'INTELLIGENCE.
Pendant 8 ans, le monde entier a eu à subir les conséquences de la bêtise, la stupidité de Bush.
L'espoir renaît partout.
Les ÉTATS UNIS d'AMÉRIQUE et leur DÉMOCRATIE devraient redevenir le phare du monde et les Américains peuvent être à nouveau fiers de leur pays.

 
À 13:46 , Blogger a rondina a dit...

Contrairement à ce qu’on essayé de faire croire les républicains, Obama serait quelqu’un de très prudent. Il écoute beaucoup, et tous les avis. Pour sortir de la machine politique de Chicago, il fallait être extrêmement pragmatique. Si on y ajoute sa formidable intelligence, il a tout pour devenir un grand président.

Pragmatisme + Intelligence, voilà les qualités principales pour gouverner un pays.

 
À 14:47 , Anonymous Anonyme a dit...

WASHINGTON (AFP)
05/11/2008 - 07h45
Les principaux points du premier discours d'Obama après son élection
Voici les principaux points du premier discours de Barack Obama en tant que président élu des Etats-Unis, devant une foule de partisans dans son fief de Chicago (Illinois, nord).

- LE CHANGEMENT: "Le changement est arrivé en Amérique."

"Il a fallu longtemps. Mais ce soir, grâce à ce que nous avons accompli aujourd'hui et pendant cette élection, en ce moment historique, le changement est arrivé en Amérique".

"Si jamais quelqu'un doute encore que l'Amérique est un endroit où tout est possible (...) la réponse lui est donnée ce soir".

- LES DEFIS A RELEVER

"C'est votre victoire", a-t-il assuré en rendant hommage aux "millions d'Américains bénévoles" qui l'ont aidé dans sa campagne.

"Vous l'avez fait car vous comprenez l'immensité de la tâche qui nous attend. Parce qu'à l'heure où nous célébrons la victoire ce soir, nous savons que les défis de demain sont les plus importants de notre existence -- deux guerres, une planète en péril, la plus grave crise financière depuis un siècle"

"La route sera longue. Le chemin sera escarpé. Nous n'atteindrons peut-être pas notre but en un an ou même en un mandat, mais il n'y a jamais eu autant d'espoir que ce soir, mais le peuple américain y arrivera.

"Il y aura des revers et des faux départs. Nombreux sont ceux qui ne seront pas d'accord avec chaque décision que je prendrai en tant que président et nous savons que le gouvernement ne peut résoudre tous les problèmes. Mais je serai toujours honnête avec vous quant aux défis auxquels nous sommes confrontés. Je vous écouterai, particulièrement lorsque nous serons en désaccord".

- LE MESSAGE A LA COMMUNAUTE INTERNATIONALE

"A ceux qui nous regardent ce soir au-delà de nos frontières, des parlements aux palais en passant par ceux qui sont assemblés autour d'une radio dans les coins oubliés du monde, nos histoires sont singulières, mais nous partageons le même destin"

"A ceux qui voudraient détruire le monde, nous vous battrons. A ceux qui aspirent à la paix et à la sécurité, nous vous soutenons".

- LA QUESTION RACIALE

"Ce soir, je pense à cette femme qui a voté à Atlanta (...) Ann Nixon Cooper a 106 ans. Elle est d'une génération née juste après l'esclavage. A une époque à laquelle quelqu'un comme elle ne pouvait pas voter pour deux raisons: parce que c'était une femme et à cause de la couleur de sa peau".

- L'HOMMAGE A SON ADVERSAIRE REPUBLICAIN JOHN MCCAIN

John McCain "a bataillé dur et longtemps au cours de la campagne, et il s'est battu plus durement et plus longtemps encore pour le pays qu'il aime. Il a enduré des sacrifices pour l'Amérique que la plupart d'entre nous ne peuvent même pas imaginer, et nous avons profité des services rendus par ce dirigeant courageux et altruiste".

"Je le félicite, ainsi que la gouverneure Palin (sa colistière, ndlr)", et "je suis impatient de travailler avec eux".

S'adressant aux électeurs républicains, il a affirmé: "Je n'ai peut-être pas remporté votre vote, mais je vous entends, j'ai besoin de votre aide, et je serai également votre président".

 
À 14:58 , Anonymous Anonyme a dit...

Fascinant Pays , Fascinante démocratie qui en 24 heures démontrent au monde entier son audace et sa vitalité !
Et l'Amérique nous fait rêver, un noir au pouvoir et avec quel charisme! C'est simplement émouvant et c'est cela la vraie politique quand il y a du haut de la pyramide jusqu'en bas un lien tendu qui fait sens, émotion, et qui ouvre le chemin de l'avenir.
Comme à Hollywood quand la politique rejoint le spectacle aux USA elle peut aussi réaliser les meilleurs scénarii au monde , tandis que nous, nous essayons de copier mais nous produisons comme au cinéma dans ce genre des navets electoraux (SarKo/Sego) et pendant ce temps notre cinéma d'auteur en politique ne fait plus recette , disparaît( Jospin, Juppe, Rocard, Villepin, à la trappe ) alors que faire ?
Se résoudre à ne jouer qu'en série B avec le scénario et les acteurs équivalents, se replier sur les enjeux locaux (la série Z avec Santini / Zuccarelli) ? ou alors...
Pensons le Monde , l'Europe, les enjeux qui nous dépassent et comme les américains rêvons un peu , soyons Corse sûrement , français sans doute mais avant tout MEDITERRANEN ET CITOYEN DU MONDE, alors rêvons qu'un CORSE D'ORIGINE MAROCAINE soit le prochain maire de Rutali à LA TËTE DE LA CTC, EN 2010 pour donner une leçon d'avance pour une fois! YES WE CAN IF WE DREAM as PAOLI !
VIVE L'AMERIQUE, VIVE LE MONDE DES LIBERTES ET DE LA FRATERNITE, e chi u signore l'appii in Gloria ( à la façon de l'oncle tom)
( je suis fou de joie vraiment et je file à New york demain et ouhais , je ne suis pas Rutalais ...j'aime Rutali et les Rutalaises Basgi a Quasi Tutti)

 
À 15:56 , Anonymous Anonyme a dit...

Félicitions.Meileurs voeux de bonheur à Madame et à ses Enfants.
bc

 
À 16:58 , Anonymous Anonyme a dit...

il a un petit air de noël ALFONSI !!

 
À 18:40 , Anonymous Anonyme a dit...

je vous l'avais bien dit qu'il allait casser la barraque!!!!

FULETTU

 
À 21:25 , Anonymous Anonyme a dit...

bc, vous n'avez pas la même classe que le candidat vaincu, devant la victoire de Barack Obama.
C'est un peu mesquin comme réaction.

 
À 11:53 , Anonymous Anonyme a dit...

Oui mais je le félicite..alors que Ségolène qui a de la classe,n'a pas félicité Sarko non? ou j'ai mal entendu.
Soyons clair je ne suis pas électeur,mais je soutiens les républicains car ils ont donné les plus grands présidents et ont toujours été les amis de la France et je ne pardonne l'attitudes des 2 présidents démocrates durant les 2 grand conflits du XXéme siécles:
Wilson qui s'opposait au retour de l'Alsace/Lorraine et Roosevelt qui n'a pas voulu de la France à Yalta alors qu'en 45 deux millions de français combattaient et Truman qui ne nous a pas voulu à Potsdam.

Alors fûssent-il noir,nain,femme,homo...je n'aime pas les démocrates.

bon il est évident que face à beau jeune black,un vieil obése blanc!!
Il y a erreur de casting.
Je conseille aux républicains de vite se trouver un beau jeune chicano.
Je voudrait rappeler aux journaleux qui se pose la question de savoir si cela pouvait arriver en France, que cela aurait pu.Un homme de couleur a été le deuxiéme personnage de l'état de nombreuses années et en cas de décés....
Quand à Obama je lui dit comme Mac Mahon ......bc

 
À 12:15 , Anonymous Anonyme a dit...

Je me réjouis aussi de l' élection d' OBAMA...Mais ,pas parce qu' il est noir,ou parce que l'Amérique donnerait , pour une fois, une leçon de "tolérance" au monde!!Je me réjouis,parce que Obama est(et c' est pour ces raisons que le peuple américain l' a choisi) jeune,dynamique,et, semble-t'il, le plus apte à rénover le pays,et surtout à dialoguer avec toutes les nations...
Cessons, par pitié,les "mea culpa" permanents.La FRANCE (qui donnait hier encore des leçons à l' Amérique "indigne") n' a de leçons à recevoir de personne.Elle a,n' en déplaise à certains,adopté et appliqué le principe de la mixité, au niveau des races, des hommes,des idées...et je n' ai pas entendu glorifier ce gouvernement qui la pratique et qui s'esr même souvent trouvé désavoué en raison,précisément de cette "dérangeante" diversité. Michèle Flori

 
À 13:01 , Anonymous Anonyme a dit...

Et toc !!!
Je suis bien d'accord.

Cathline

 
À 16:36 , Anonymous Anonyme a dit...

il a dit quoi mac-mahon?

 
À 17:11 , Anonymous Anonyme a dit...

Voilà ce qu'a voulu dire bc à propos de Mac-Mahon.
Je vous laisse le soin d'apprécier.

"Alors qu'il va passer en revue les élèves de l'École spéciale militaire de Saint-Cyr, Mac Mahon est informé que le soldat le plus brillant de la promotion (Camille Mortenol) est noir de peau. À l'école militaire de Saint-Cyr le mot nègre est du reste utilisé depuis le XIXe siècle pour désigner le major, c’est-à-dire l'élève le plus brillant de la promotion. Arrivé devant lui, et alors qu'il est évidemment difficile de ne pas reconnaître le soldat, Mac Mahon lui demande : « Ah c'est vous le nègre ? ». Et, à court de mots, il ajoute : « Très bien, continuez ! ».

Evidemment, il valait mieux ne pas expliquer!

 
À 19:26 , Anonymous Anonyme a dit...

Non non, trou du cul*,Mac Mahon a dit "j'y suis j'y reste" c'est ce que je souhaite à Obama pour une seconde mandature qui lui sera bien utile.bc


*vous savez qui je suis alors...

 
À 19:33 , Anonymous Anonyme a dit...

hum, hum... bc roi de la pirouette ?

 
À 19:59 , Anonymous Anonyme a dit...

Bon Cuccù,ils commencent a ma gongler les valseuses.Pourrait tu nous afficher Gaston Monnervile,qui a failli à deux mois prés en 1970 devenir Président par interim.C'était un ami de mon père..certain me taxe de racisme...j'aime pas.bc

 
À 20:01 , Anonymous Anonyme a dit...

Les deux histoires sur Mac-Mahon sont vraies. On peut donc laisser à bc le bénéfice du doute.

Dans chaque homme célèbre il y a une femme qui se cache. Ou vice versa. Et dans chaque citation historique, il y a un premier jet prononcé en intimité, une générale, hors caméras. Pour rétablir la vérité historique, voilà la petite histoire qui amena Mac-Mahon à prononcer cette phrase célèbre en 1855… « J’y suis, j’y reste… »


Avant d’aller battre les rustres Russes à Sébastopol, en Crimée, Mac-Mahon faisait le fanfaron en tenue de général dans les rues de Toulon. A quarante sept ans, galonné et re-galonné, aller au combat le démangeait encore, d’autant plus qu’il avait laissé bobonne à la maison un mois plus tôt. Une jeune et jolie jeune fille à l’air mutin, la langue pas dans sa poche, certains pensent qu’elle aurait pu être professionnelle vu sa gouaille et ses bottes de cavalière de steeple-chase, tomba éperdument amoureuse de lui en moins de trois secondes, et ne pouvant refreiner ses ardeurs de jeune femme avide d’aventures torrides, elle lui demanda tout de go :
- Alors, chéri, on monte ?
Mac-Mahon qui se trouvait fort beau et fort séduisant n’en fut pas étonné. Tout lui souriait sur ce quai, même le soleil de ce mois de mai.
- Mademoiselle, général Marie Edme Patrice Maurice de Mac-Mahon, comte de Mac-Mahon, duc de Magenta, au service de l’Empereur et des dames… Hum !!! Pour vous servir.
- Pour me servir, Gégène, ça sera deux sous. Alors on y va beau brun ? J’ai pas que ça à foutre, si j’peux dire…
Empreint de rigueur militaire et d’une raideur délétère genre bâton de maréchal dans son pantalon immaculé, il marchanda un peu et s’avoua vaincu quand elle lui lâcha que pour le même prix il aurait en prime un oreiller en plume d’oie… Oui, en plume d’oie !
- Ouahh ! J’adore les plumes d’oie… Va pour deux sous. Mademoiselle… ?
Mac-Mahon et son oie noire surnommée Ninon Beaux-Galons entrent dans le premier hôtel de passe venu et la voilà qui enlève ses dessous sans tralala…
- Non ! Garde tes dessous. Tiens voilà tes deux sous…
- Si je garde mes dessous, c’est un sou de plus. Pour la blanchisserie. Je sais bien comment vous les marins vous arrivez les balloches pleines et que vous salissez les dessous, même si y’a une fente…
Mac-Mahon qui était plutôt coulant de la bourse, bouffi des bourses et tendu comme une arbalète, donna vite le sou de plus et se jeta comme une bête en rut sur Ninon Beaux-galons, bouillante des lèvres au bonbon, pas sa faute si c’était son nom. Il lui fit son affaire plus vite qu’il ne le souhaitait et comme elle lui tapait amicalement sur les fesses pour qu’il se rhabille, y’en a d’autres qu’attendent, c’est pas l’moment de ramollir, il resta enfoncé en elle, tenon mort d’aise, lourd comme un cheval mort, savourant la victoire sur la vie, l’écrasant de tout son poids de général quarantenaire et déclara, la tête un peu lourde et le cœur allégé, agréablement essoufflé :
- J’y suis, j’y reste !
- Ah non mon cochon ! (ou mon colon, on sait plus bien, les vrais galons c’était pas son truc). Pour un deuxième tour de manège, Gégène, c’est deux sous de plus.
- J’y suis, j’y reste…
…Et fi de ces paroles en passe de célébrité, elle le désarçonna d’un coup de rein vicieux comme l’aurait fait sa première jument rétive refusant le premier obstacle… Elle se mit à hennir de rire.
Son sang de cavalier émérite et de grippe-sou irlandais ne fit qu’un tour et il sabra la fille, de joie, sur le champ. Tchac ! Un large coup de fer généreux la décapita tout net. Sa tête de Ninon à la coiffure un peu souillon alla rouler en grimaçant sous le lit, sans doute y avait-il des moutons… La vue du sang sur les draps blancs redonna une énergie subite au général qui sabra une seconde fois la Ninon encore chaude et plus du tout en état de dire non. L’oreiller en plume d’oie faisant office de tête de grosse dinde, elle se montra nettement plus coopérative, même quand il la retourna, et il put placer une seconde fois
- J’y suis, j’y reste… tout en la besognant…
… Puis une troisième, une quatrième et une cinquième fois, là où y’a d’la gène, Gégène, y’a pas d’plaisir. Il aimait cette formule confortable, oui, confortable, et il savait pertinemment qu’il pourrait la placer une prochaine fois, dans un vrai bordel chic par exemple, et qu’elle ferait date.
Il oublia vite cette histoire de mauvais sabrage qui aurait pu lui coûter le bagne (de Toulon) s’il n’avait été général, sauta dans son trois-mâts et s’en alla guerroyer du côté de la Crimée. Après de longs jours de siège et d’espoir, bien mal acquis à Malakoff, il investit un beau matin la citadelle de Sébastopol, et devant la menace des russes rusés qui menaçaient de la faire sauter, il s’écria pour la postérité, campé héroïquement sur ses positions :
- J’y suis, j’y reste…
… godant comme un dingue et pensant à cette Ninon de Toulon qui lui avait donné deux fois du plaisir pour trois petits sous qu’il avait repris. Bien fait pour elle…
L’Histoire, fille ainée sans nénés de la Culture, ne retiendra que cette dernière fois, et Mac-Mahon, fort de cette légende, passé à la postérité, deviendra Président de la République…

 
À 20:37 , Anonymous Anonyme a dit...

en voilà une anecdote qu'elle doit plaire à bc !!!

 
À 08:01 , Anonymous Anonyme a dit...

affaire Mac Mahon suite et fin.

Donc "négre" chez les cyrards c' est le major.le mots a été sorti de son contexte,car ce jeune homme était bien blanc.Imaginez au XIX ème siécle un noir taupin!!.
Mac Mahon était la tête de turc des journalistes.Bien entendu tout le monde connait son inoubliabe
"La typhoïde est une terrible maladie on en meurt ou on reste idiot,je le sais je l'ai eu"

Par moment j'ai l'impression que nous sommes nombreux à être des rescapés sur ce blog. bc

 
À 11:00 , Anonymous Anonyme a dit...

Si j'avais eu à participer aux élections américaines, j'aurais moi-aussi voté pour BO... Mais mon choix n'aurait pas été guidé par ses promesses électorales mais par tout ce qui émane de son personnage _ charisme, séduction, charme, jeunesse, droiture apparente...
Qu'il soit de gauche ou de droite, démocrate ou républicain, noir ou blanc de peau... cela importe peu. Ce qui compte, c'est ce qu'il fera réellement ou pourra faire. Les "promesses" c'est une chose, leur réalisation c'en est une autre ! "Vouloir" n'est pas toujours "pouvoir" _ du moins à court terme _, même si c'est devenu son slogan [YES, WE CAN]. La route est souvent semée d'embûches imprévisibles...
Je lui souhaite la force, le courage et le pouvoir de mener à bien son immense tâche !

WAIT AND SEE !

D.D.

 
À 14:17 , Anonymous Anonyme a dit...

Wikipedia

Sosthène Héliodore Camille Mortenol (1859-1930) est un capitaine de vaisseau guadeloupéen qui commanda la défense aérienne de Paris pendant la Première Guerre mondiale.
Il fut le premier élève noir (guadeloupéen) reçu à l'École polytechnique (promotion X1880)
Fils d'André Mortenol et Julienne Toussaint (issus de la classe modeste pointoise), tous deux d'anciens esclaves. Le jeune Camille se montre d'emblée brillant mathématicien.
Il fit ses études à Basse-Terre chez les frères de Ploërmel, puis au collège diocésain. Il reçut une bourse pour continuer ses études au lycée de Bordeaux.
Reçu huitième au concours, il est l'un des premiers Noirs à être admis à l'école polytechnique, et fait une carrière exceptionnelle dans la marine. Il navigua de 1882 à 1894, participa aux combats de Madagascar en 1894 et participa à l'organisation de la colonie.
De 1900 à 1902, il commanda au Congo puis de 1907 à 1909 la flottille des torpilleurs des mers de Chine.
En 1914, Mortenol est âgé de 55 ans quand il est choisi par le général Gallieni, gouverneur militaire de Paris, pour le seconder dans la défense de la capitale française.
Gallieni avait pu apprécier le dévouement de Mortenol quand ils servaient ensemble à Madagascar.
Mortenol est donc, dès 1915, directeur du service d'aviation maritime du camp retranché de Paris. II a la responsabilité de défendre Paris contre les attaques de l'aviation ennemie.
Avec l'aide d'un service de renseignement éprouvé et d'énormes projecteurs de nuit, en particulier celui du Mont Valérien qui domine la capitale, il déjoue les attaques aériennes.
Il est nommé en 1921 commandeur de la Légion d'honneur.
Anecdote [modifier]

Alors qu'il allait passer en revue les élèves de l'École Polytechnique, Mac-Mahon fut informé que le soldat le plus brillant de la promotion (Camille Mortenol) était noir de peau. À l'X, le mot nègre est du reste utilisé depuis le XIXe siècle pour désigner le major, c’est-à-dire l'élève le plus brillant de la promotion. Arrivé devant lui, et alors qu'il était évidemment difficile de ne pas reconnaître le soldat, Mac-Mahon lui demanda : « Ah c'est vous le nègre ? ». Et à court de mots, il ajouta : « Très bien, continuez ! ».

 
À 16:34 , Anonymous Anonyme a dit...

Ca colle pas.Méfiez vous de Wilkipédia et de l'interactivité.
j' en balance des pas piqués des vers de tant en tant.
en vérifiant:Mac M. est élu président de la république pour 7 ans en 1973.Sous les coups de Gambetta et de son "soumettre ou se démettre" Il démissionne en 1979 et se retire dans son chateu de Loiret.

Morterol intégre Polytechnique en
1980!!.de plus et j'ai bien verifié
il n'et pas le "négre" il est selon les sources 8éme 10éme 0u 11éme.
Cela ressemble a un canular de nos amis de l'X ..Et toutes les c...était à l'époque redirigé sur
MM.(La typhoïde est bien sur apocryphe)

 
À 18:09 , Anonymous Anonyme a dit...

C'est quoi ces élucubrations ?
Et puis MorteRol pour MorteNol ?
Ce n'est même pas un problàme de dyslexie, c'est un problème de vue !
Au secours, Jean-Pierre !
Ou alors c'est un canular et j'ai encore mordu à l'hameçon ? !
;-)))
D.D.

 
À 07:54 , Anonymous Anonyme a dit...

Je reste courtois chère Madame, et je n'ai pas lu le mot élucubration.
Dans ,la France 1814/1914 de Barjot,Chahine, Encrevé (PUF)ce monsieur est appelé Morterol.
J'ai plus confiance en ces universitaires qui font autorités qu' a vos sources du
Web.Vous savez les livres existent
encore.

 
À 10:07 , Anonymous Anonyme a dit...

Cher monsieur _ apparemment vous en êtes un puisque vous employez le mot "courtois" _ pouvez-vous me dire de quel "Mac Mahon" vous parlez et dans quel pays il vivait... car apparemment "vos" dates ne correspondent pas avec le Mac Mahon cité dans un précédent "comment" et qui n'est pas de moi puisque non signé (je signe toujours).
Merci de me renseigner.
P.S. : Ou alors vous êtes-vous trompé de dates... 1973 ou 1873 ?
D'où le mot "élucubration" ! Il y a tellement de "farceurs" rigolos sur ce blog.............
Je vous rassure, je fais moi aussi confiance aux livres !
D.D.

 
À 11:17 , Anonymous Anonyme a dit...

Chaline,bien sur,mon doigt a dérapé!,je m'en veut d'avoir estropié celui qui a été un de mes professeurs et qui est un des plus grand expert sur la période allant des monarchies censitaires
à l'avénement de la République des opportunistes.

 
À 12:43 , Anonymous Anonyme a dit...

Je suis content maintenant!
PH

 

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