09 juillet 2009

LES VOISINS, C'ÉTAIT LA FAMILLE...!

18 commentaires:

À 09:33 , Anonymous Anonyme a dit...

MAis que faisait François Santoni avec jean-Bati ??

 
À 12:45 , Anonymous Anonyme a dit...

Chi bellu ritrattu , so incu elli di core, chi belle ghjente , belle famiglie , rutalacci di un epoca finita, tutti st'amici smariti mi mancanu assai,e ste donne cusi fiere e cusi belle e grande a l'ind'entru, restu solu e quasi mutu d'un putè legami cume nanzu, aspettu di ritruvali , e per ava mi ne vo a dorme
V'abbracciu
U Poaretu di M Pignon

 
À 13:36 , Anonymous Anonyme a dit...

c'est vrai chi Ceccu nanta stu ritrattu pare u puaretu di Francois SANTONI...!

 
À 13:42 , Anonymous Anonyme a dit...

Les voisins sont toujours la famille, la tradition est perpétuée, Anne-Marie FLORI et Olympe ALFONSI étaient inséparables.
Anne-Marie FLORI (petite fille d'Anne-Marie) est la marraine de mon fils Baptiste et ces liens seront pour la vie

Nathalie ANGELI (petite fille d'Olympe)

 
À 16:50 , Anonymous Anonyme a dit...

Ceccu , Ghjanbati, Anghjulu , beaux personnages dans ce beau quartier, et ces femmes acantu a quelle d'oghje mancu a ligali i scarpi !! Dignité, travail , discrétion,courage et j'en passe

 
À 16:51 , Anonymous Anonyme a dit...

U capiscu u casticu di u Poarettu quand ci vene sottu à l’ochji un ritrattu di ghjente care ch`ùn so più. Ventu nustalgia muvendu un velucciu neru sopra à u core. Ma ch’ellu ùn sia micca, per tantu, pressatu di ritruvalle! Venerà ancu quessu u tempu ! A noi cio chi ci primureghja assai, prima ch’ellu si ne andessi à dorme, seria di pudellu abbraccià, da veru, è di pudè ramintà cun ellu ricordi, chi elli so sempre vivi. A prestu amicu! Avemu tante cose à dicci ! jbg

 
À 17:59 , Anonymous Anonyme a dit...

Qui est ce François Santoni??

 
À 19:29 , Anonymous Anonyme a dit...

Raymond Albertini hè tale e quale u so babbu Ceccu.

 
À 20:12 , Anonymous Anonyme a dit...

Il est bien vrai qu'à cette époque les voisins c'était une grande famille.
Il y avait ,notamment entre les femmes ,une amitié et une solidarité qui les soutenaient dans leur vie quotidienne faite de travail, oû l'argent était chiche et les loisirs inéxistants.
Je suis heureuse d'avoir connu cette chaleureuse ambiance et ces personnes simples et courageuses.
Battine.

 
À 20:35 , Anonymous Anonyme a dit...

Même si on je sais pas écrire corse je trouve que l'écriture de JBG est fluide limpide et surtout elle a un sens.Par contre le commentaire d'un faux Poaretu di M Pignon est très moyen et incite à abandonner la lecture de cette belle langue.
Merci JBG

 
À 07:59 , Anonymous Anonyme a dit...

Hélas beaucoup ont disparu.mais a part bien sur les deux charmantes jeunes femmes,la 4l est toujours bien vivante.

 
À 13:15 , Anonymous Anonyme a dit...

Michelle, c'est fou ce que ta fille Anna Maria te ressemble .
De plus elle est aussi belle, que gentille et sympa !!!!
comme toi
je vais signer sinon Jean Marie va s'inquiéter !!!

La photo a fait resurgir des souvenirs d'enfances et beaucoup de nostalgie. C'était vraiment une autre époque avec des gens vrais et sincères ............... nostalgie, nostalgie.....

FULLETTU

 
À 17:56 , Anonymous Anonyme a dit...

Il faut préciser les identités :
la voiture s'appelle :Agathe Rel.

 
À 22:19 , Anonymous Anonyme a dit...

Merci,Fullettu,pour ce gentil commentaire...c' est vrai,c'était une bien jolie époque,et nos enfants s' en souviennent avec émotion.Ce quartier était celui de la joie:des enfants,des rires,des "vieux" pas encore vieux et des histoires sur le seuil des maisons...Je dis souvent que j' ai eu l'impression en arrivant là à 20 ans,d' y être née...Mais les rutalais d' aujourd'hui ne sont pas mal non plus!!!M.Flori

 
À 09:43 , Anonymous Anonyme a dit...

Aucun commentateur n'a évoqué le couple au centre de la photo,même pas Battine . Ils ont pourtant reconnu Ange Pantanacce et son épouse née Bastélica Marie-Joséphine . Leur maison était le pôle d'attraction du quartier,avec 5 enfants à la maison .
Ils possedaient un grand lavoir,
autour duquel se regroupaient les voisines Anna-Maria,Lympia,
Antunietta et d'autres qui n'étaient pas obligées ainsi de se rendre au lavoir municipal.
Ange, pendant la guerre et l'après-guerre, a fabriqué des sandales avec des vieux pneus,et, du savon dans des grandes boites d'anchois .
Pendant des décennies, il a fait des piqures à tous les rutalais. A l'époque,il n'y avait pas d'infirmières .Il fallait faire les piqures de pénicilline I M toutes les 3 heures, Eté comme hiver,qu'il neige ou qu'il vente,de jour comme de nuit.

César Pantanacce

 
À 09:43 , Anonymous Anonyme a dit...

Désolé mais la 4L a elle aussi disparu;Celle qui est toujours pétaradante dans le village et que je garde precieusement est sa derniere voiture. Celle de la photo était sa premiere voiture.Petite précision,"jean-batti"était sans doute l'un des premiers ""chauffeurs" du village.Il conduisait depuis qu'il avait 17 ans,les voitures des autres!
J,M FLORI

 
À 13:48 , Anonymous Anonyme a dit...

Ange Pantanacce, ghjerà dinù un riparatore di spechjetti, cù e mine di u stylo Bic.
Ghjanpa

 
À 20:08 , Anonymous Anonyme a dit...

Merci Cesar de cette précision !mais crois moi tous les Rutalais de ces époques savent bien qui sont ces personnes qui tiennent une place exceptionnellement grande dans nos coeurs et nos mémoires.Cette photo est un résumé magnifique de leurs qualités de coeur,de l'affection qu'ils ont les uns pour les autres,de la joie qu'ils ont à vivre ensemble .Tout est en place ,Michele et moi ,jeunes mariés,avons passé les fêtes de noel en famille,c'est le départ ;tous sont venus nous embrasser;Il y à de l'émotion;Et la !L'acteur ,car c'était un grand acteur, Ange ,vient de dire une blague,avec un air serieux et tous rient.Il a dédramatisé le départ ,Dans nos souvenirs,il y a les rires de ce thêatre de quartier que ton père ,césar,s'ingéniait à faire vivre.
Il faudrait,un jour écrire un livre,simplement pour faire revivre tous les" tours" qu'il a faits tout au long de sa vie dans le village et ailleurs .Mais il faudrait aussi que je te raconte comment, en compagnie de jean bati Flori et son Mulet chargé de deux" MORTIERS",ils firent une ,belle blague à des soldats Allemands au débouché du pont génois,un matin de septembre 43. jean-marie FLORI.

 

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