31 mars 2011

Depuis que les vagues vrombissantes
ourlée d'aluminium
et chargées de folie
ont déferlé
sur les rives noires de mon île paisible,
j'ai vainement cherché
un sourire
qui ne soit pas douleur,
une ombre qui ne soit pas menace.
La mort,
cette sangsue inassouvie
est passée
indifférente,
rictus en fleur coupée
au coin de ses mâchoires vides
enveloppée dans ses haillons
de nausée et de néant...

Indifférente

bc

5 commentaires:

À 11:49 , Blogger U cuccu a dit...

Après administration de la question, le tribunal de la Sainte Inquisition condamne ton texte au pilori. S'il lui est reconnu un autre auteur que toi-même ce seront les galères assurées pour toi-même et des cours intensifs de littérature et de poésie pour nous.

 
À 12:28 , Anonymous Anonyme a dit...

Ce texte m'est venu brutalement je ne sais s'il est de moi ou d'un autre,réminiscence circonstancielle*,mais c'est bien Rimbaud qui a dit "Je est un autre" donc si l'autre c'est moi je suis absous et puis, diantre,il n'y a pas que PPDA qui ait le droit de plagier..bc

*Je vous défie de trouver un auteur pour ce texte..clurr

 
À 12:40 , Blogger U cuccu a dit...

Eh bien, il est très beau !

 
À 09:54 , Anonymous Anonyme a dit...

Chapeau b.c!!, Je te pardonne toutes tes plaisanteries nazes sur les femmes. Très beau, vraiment. M.V.

 
À 19:27 , Anonymous Anonyme a dit...

Ah !!!! parceque c'étaient des plaisanteries !!!!!!!!! ????????????
FEMME, FEMME, FEMME .......

 

Enregistrer un commentaire

Abonnement Publier les commentaires [Atom]

<< Accueil