02 avril 2006

MAIS QUE SE PASSE-T-IL A SANTU PETRU ? Depuis plusieurs mois la vie de ce grand , mais dépeuplé, village du Haut-Nebbiu est pertubée par des actes de vandalisme nocturne et anonyme, qui troublent la population sans justification apparente. Un rassemblement de la population a exprimé son désarroi. La fièvre des banlieues gagnerait-elle nos villages ?

5 commentaires:

À 13:58 , Anonymous Anonyme a dit...

Certains s'en sont pris à de jeunes oliviers, ils les ont carrément coupés; ils appartenaient à un paisible retraité du village qui les avait plantés sur un terrain lui appartenant et qui jusque là ne se connaissait pas d'ennemis. Sans commentaires!

 
À 00:27 , Anonymous Anonyme a dit...

il parait que dès qu'il se passe quelque chose dans ce village, les gendarmes de Murato deviennent fous et en perdent totalement leur latin. Personne ne veut parler, alors que parait-il, on connait les coupables; on en serait arrivé à tuer des animaux, des cochons etc....une chape de plomb s'est abattu sur Santu Petru et tout le monde se méfie de tout le monde.
Ambiance!!!!!

 
À 09:28 , Anonymous Anonyme a dit...

C'est quand même incroyable ce qui se passe dans ce village.C'est peut-être seulement le fait d'une ou deux personnes qui arrivent à semer la zizanie et à créer ce climat de suspicion. Mais si les gens savent, pourquoi ne rien dire? Si c'est par peur, il n'est pas interdit de mettre les gendarmes sur la voie en ne révélant pas la provenance des informations; c'est rendre service à toute une population, ce n'est pas de la délation. Ou bien faut-il se taire, ou bien dénoncer ouvertement?
Que feriez vous? C'est un problème délicat, surtout en Corse où le Silence est la plupart du temps, la solution adoptée.

 
À 15:27 , Anonymous Anonyme a dit...

Nous ne sommes pas au pays de la « burka » mais sommes-nous pour autant plus libres ? Moi je ne le crois pas !
En effet, nous sommes incapables de nous extirper de ce voile « armé » qui nous opprime, nous muselle, nous impose tacitement des barrières infranchissables. Nous nous autocensurons, nous n’osons pas nous DÉVOILER, craignant jusqu’à notre ombre !!!
On écrit sous le couvert de l’anonymat et celui ou celle qui signe doit « assumer » des représailles de tous ordres ! On ne dénonce pas les violences dans quelque domaine que ce soit…« Qui de rien ne se mêle, de rien ne se démêle ! »
Il y a quelques années, trois enfants d’une même famille, fréquentant l’école où j’enseignais, furent violés quotidiennement par leur père et leur oncle. Quand l’affaire « éclata », les langues se délièrent… les voisins avaient EFFECTIVEMENT entendu les enfants gémir, pleurer, implorer, mais… ils s’étaient tus – les « voisins », pas les enfants !!!
Mais dans quel monde évoluons-nous ?
Vivons-nous vraiment au pays des droits de l’homme ou n’est-ce qu’un leurre ?
Si l’on fait son devoir de citoyen, on s’expose aux représailles d’une minorité. Si on écrit ce que l’on a à dire en le signant on s’expose aussi, mais là, à de la raillerie ou à de l’agacement ? !
Qu’il en faut donc du COURAGE… ou alors ce mot a-t-il perdu son sens véritable et l’on doit peut-être le remplacer par INCONSCIENCE téméraire ?
Quoi qu’il en soit, je continuerai à signer mes écrits, n’ayant pas le sentiment de nuire à autrui mais n’acceptant pas non plus qu’il soit fait de TORT à autrui !!!
D.D.

 
À 10:42 , Anonymous Anonyme a dit...

"Il vient une heure où protester ne suffit plus : après la philosophie, il faut l'action". Victor Hugo
"L'homme ne peut se dire libre si sa liberté s'appuie sur l'oppression d'autrui". Juan Carlos Ier

 

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