01 février 2007

J.C QUILICI: La caldeira de Santorin La caldeira de Santorin Artiste Peintre, Jean-Claude Quilici est né à Marseille en 1941 de parents corses. Très jeune, il fréquente l'Ecole des Beaux-Arts, et après une approche des grands Maîtres de la Peinture Provençale, il expose à partir de 1958 ses premières peintures dans sa ville. Entre 1960 et 1970, il va recevoir de nombreux Prix de Peinture, qui vont couronner ses débuts de jeune peintre, et durant cette période, des expositions de ses oeuvres vont être organisées dans de multiples galeries en France. A partir de 1971, ce sont les États-Unis qui vont l'accueillir : Washington, New-York, Atlanta, Philadelphie, Albuquerque... En 1980, J.C Quilici commence sa carrière au Japon : de Tokyo à Osaka, en passant par Kobé, Shizuoka, Fukuoka, Nagano, Saporo... toutes ces villes lui organisent des expositions et lui réservent un accueil chaleureux. Depuis 20 ans, ses oeuvres lithographiques et ses peintures sont présentes en permanence au Japon ; cela a permis à l’artiste d’être connu du grand public et des collectionneurs japonais. J.C Quilici n'a pas pour autant négligé la France ; son travail est exposé régulièrement dans les Galeries les plus importantes : Marseille, Toulon, Ajaccio, Lyon, Bordeaux, Clermond-Ferrand, Dijon, Nancy, Cannes, Saint-Tropez... Il est présent en permanence et en exclusivité à Paris ; où la Sun Gallery lui consacre ses cimaises pour des expositions prestigieuses qui touchent le public français et international : "Lumière de Méditerranée", Cadaquès, la Grèce, la Corse, la Provence, les Pueblos Indiens, la Corrida ... L'artiste poursuit parallèlement une carrière à l’étranger : U.S.A, Singapour, Hong-Kong, Taiwan, Corée... L'artiste est invité à réaliser au cours de sa carrière des oeuvres diverses ; telles que des fresques monumentales pour l'Université de Corte (Corse) de 40 m. de long sur 4 m. de haut, et pour le Métro de Marseille, une décoration murale sur tôle émaillée d'une longueur de 130 mètres... En ce moment il expose en même temps à Paris, Singapour, New-York, Miami, et Hong-Kong ! LE VILLAGE DE SON PERE: SPELUNCATO village LE PORT DE CENTURI centuricorsegrd

3 commentaires:

À 18:05 , Anonymous Anonyme a dit...

C'est aussi coloré qu'académique.
Je ne pense pas que cela soit de la peinture. De la décoration peut-être, les prix ne prouvent rien...
Mais enfin, au-dessus d'un divan en cuir... dans un salon bourgeois...
quand les jours sont gris, l'hiver.
Où sont donc passés les gens ? Ils font toujours la sieste, pourtant à Santorin... Quelle transhumance !
Ce peintre aime-t-il les gens, les visages humains ?
Il y a plus de choses dans les yeux des hommes que dans une cathédrale.
C'est Van Gogh, je crois, qui disait ça.
(Je cite de mémoire)

 
À 18:05 , Anonymous Anonyme a dit...

C'est aussi coloré qu'académique.
Je ne pense pas que cela soit de la peinture. De la décoration peut-être, les prix ne prouvent rien...
Mais enfin, au-dessus d'un divan en cuir... dans un salon bourgeois...
quand les jours sont gris, l'hiver.
Où sont donc passés les gens ? Ils font toujours la sieste, pourtant à Santorin... Quelle transhumance !
Ce peintre aime-t-il les gens, les visages humains ?
Il y a plus de choses dans les yeux des hommes que dans une cathédrale.
C'est Van Gogh, je crois, qui disait ça.
(Je cite de mémoire)

 
À 12:24 , Anonymous Anonyme a dit...

Oui, c'est un peu le désert ces tableaux.
ça manque de vie, c'est à la fois froid et sec.
C'est comme pour les photos, les beaux paysages, très bien, mais avec des gens. Sinon, les paysages, on peut les retrouver partout. Il faut donc les "humaniser".

 

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