"Un n'era la miseria... ben chi s'assumigliava"
Ces paroles d'une chanson de Michel Mallory peuvent servir de légende à cette photo, qui nous a été confiée par les enfants de l'une de ces personnes, comme un hommage à la force, au courage des femmes de cette génération qui ont élevé une famille et tenu une maison, dans les conditions de rudesse que cette photo illustre. La lessive dans un trou d'eau, à genoux sur une pierre plate... Il y a seulement 50 ou 60 ans!
4 commentaires:
Campavanu megliu elli incu i mezzi di tandu,che noi oghje cun tutti i nostri vezzi . Un hannu micca l'aria di esse disgraziati . Un mancavanu di nunda, e, in casa soia ci era di tuttu per elli e per quelli chi francavanu l'usciu .
U megliu è u nimicu di u bè .
c p
Chi tanti vezzi ! Je suis sûr que si on leur avait posé la question à la fin de leur vie, elles préféraient certainement la machine à laver! Le progrès technique ménager a heureusement (et pour cause) profité avant tout aux femmes. Cette photo voulait surtout montrer le chemin parcouru en quelques décennies. Le commentaire est respectueux et non condescendant.
J'écrivais :incu i mezzi di tandu.
A gauche : Anne-Marie FLORI .
Au centre : Marie ANDREANI et, à ses côtés ses enfants René et Marie-Jeanne sans doute .
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