12 mars 2009

LE FILM À VOIR SUR LES MIGRANTS DE CALAIS

6 commentaires:

À 14:48 , Anonymous Anonyme a dit...

Le traître Eric Besson n'aime pas ce film. Son histoire le dérange.
C'est une très bonne raison pour aller le voir.

WELCOME WELCOME WELCOME

 
À 20:09 , Anonymous Anonyme a dit...

Bonne idée de les faire traverser à la nage.On pourrait même organiser des paris (noyés disqualifiés pas remboursés).Si vous n'avez que ce film à aller voir,bon courage.

 
À 20:36 , Anonymous Anonyme a dit...

Le traitre Besson? mais qui c'est?
ah oui le rallié Besson.
Gaucho welcome friend's? Ah gagner les élections c'est bien,mais entendre baver pendant 5 ans c'est du nanan.

 
À 00:39 , Anonymous Anonyme a dit...

Quel facho, le comment 2

 
À 11:20 , Anonymous Anonyme a dit...

tellement facho qu'on ne comprend pas qu'il ait pu passer mais c'est sans doute de l'humour
a quel degré? c'est à l'étude

 
À 19:13 , Anonymous Anonyme a dit...

laurent joffrin Libération

Humains, trop humains ? Ceux qui aident les sans-papiers seraient donc des délinquants, poursuivis pour avoir commis cette faute : tendre la main à ceux qui cherchent à échapper à la misère en tentant leur chance dans les eldorados ambigus des pays du nord. Cette ancienne loi, dit le ministre de l’Identité nationale Besson qui a renié ses récentes convictions, n’est pas appliquée. Certes, on n’enferme pas les coupables de «délit d’entraide». Mais on leur crée des ennuis, on les interroge, on leur promet des amendes, bref, on cherche par la tracasserie policière à les dissuader de manifester leur compassion. Drôle de pays, drôle de régime…

Cette situation avait éclaté au grand jour quand les réseaux d’aide aux enfants de sans-papiers scolarisés s’étaient constitués. On avait alors réalisé que la solidarité envers les migrants n’était pas seulement le fait de militants éprouvés ou d’associations spécialisées, mais qu’elle pouvait émaner de femmes d’officiers de marine à Brest, ou de parents d’élèves étrangers à tout engagement politique, simplement choqués de voir les camarades de classe de leurs enfants pourchassés et renvoyés. Parfois capable du pire, l’humanité, dans le cours ordinaire du temps, laisse s’exprimer ses réflexes de solidarité élémentaire. C’est ce que montre le film Welcome. C’est ce que veut combattre un gouvernement qui a fait de la sanction policière un des ressorts de sa politique. Il est temps de jeter aux orties cette loi qui entache, par l’usage qu’on en fait, l’honneur et la mémoire de la République.

 

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