12 mai 2009

La « Rhapsodie in Blue » de Georges Gershwin dans une interprétation originale, mêlant un grand orchestre symphonique dirigé par Osawa, et un trio de jazz ( M. Roberts trio), avec un pianiste (aveugle !) particulièrement inventif, dont les impros font sourire les autres musiciens eux-mêmes . George Gershwin (26 septembre 1898 à Brooklyn, New York – 11 juillet 1937 à Hollywood) était un compositeur américain, né Jacob Gershowitz, de parents juifs immigrants russes. George Gershwin composa la plupart de ses œuvres avec son frère Ira Gershwin, parolier. Il composa à la fois pour Broadway (Porgy and Bess contenant le fameux Summertime, Un américain à Paris) et pour les concerts classiques, sa musique contenant des éléments provenant des deux univers. Il connut également beaucoup de succès dans l'écriture de chansons populaires. Parmi ses compositions, beaucoup ont été employées au cinéma, et bien d'autres sont devenues de grands standards de jazz : des livrets ont été enregistrés par Ella Fitzgerald avec Louis Armstrong , Herbie Hancock et plusieurs autres chanteurs ou acteurs. La musique de Gershwin contient à la fois des éléments du modernisme classique (sa Rhapsody empruntait même des éléments de Debussy) et de la musique populaire américaine. C'est ce qui fait son originalité.

4 commentaires:

À 17:24 , Anonymous Anonyme a dit...

C’est curieux comme nos amis juifs ont la propension à se donner des pseudos disons
…neutre. Gershwin,Dassaut,Nora,Bruel, etc
Avez-vous déjà vu un Marcel Beuvron,se faire appeler Moshe Rabinovitch ? Non jamais n’est-il vrai ?
Etonnant non ? Laquédem.

 
À 18:30 , Anonymous Anonyme a dit...

Quel courroux injustifié.je ne fait que constater. Vieille droite l'insulte suprème pour vous la jeune gauche, mais c'est surtout votre vieille dialectique stalinienne,qui ressort. Vous êtes indécrotable,vous devriez faire une purification.Le beau sourire s'estompe et le naturel ressurgit. L.

 
À 18:37 , Blogger U cuccu a dit...

Ce n'est vraiment pas possible! Tu ne dis pas "c'était un grand compositeur",tu vois avant tout "le juif"!...
Tu portes tous les stigmates de la vieille extreme-droite francaise... Arrête Dieidonné !
Mais finalement ou en etes-vous les fachos d'aujourd'hui ? Plus anti-arabes ou plus anti-juifs ? Sais-tu ce que disait un avocat d'extrême-droite, célèbre en son temps(tu as du le connaitre...),au moment de la guerre du Sinai en 56, entre Égyptiens et Israéliens ? Ne sachant plus quelle haine privilégier, anti-arabe ou anti juive, il disait
"Nous voici devenus youpinophiles !..." C'était de l'humour de droite...

 
À 19:13 , Blogger U cuccu a dit...

Mais revenons à la musique, c'est l'essentiel.
Vous avez vu ce monde au concert...! Comme il réagit bien.
Ce qui est amusant c'est cette rencontre entre musiciens classiques, habitués à servir fidèlement le compositeur en suivant scrupuleusement leur partition, et la gaieté et l'inventivité de musiciens de jazz, n'hésitant pas à prendre des libertés avec la musique écrite et finalement servant l'esprit de la composition mieux que sa lettre. On voit au début le visage des musiciens classiques, interrogatif, même vaguement inquiet, regardant le pianiste et se demandant "Où veut-il en venir, comment va-t-il retomber sur ses pattes?"
Et rassurés, ils participent à la joie collective. J'ai vraiment beaucoup aimé.

 

Enregistrer un commentaire

Abonnement Publier les commentaires [Atom]

<< Accueil