27 septembre 2011

Le 30 Septembre 1791
MOZART DONNAIT " LA FLÛTE ENCHANTÉE"
qui  reçût un accueil enthousiaste, mais malade, épuisé, Mozart mourra deux mois plus tard à seulement 35 ans. Natalie Dessay nous interprète le fameux air de "La Reine de la nuit" 

6 commentaires:

À 13:03 , Anonymous Anonyme a dit...

Mozart a jete ses dernieres forces dans cet Opera que certains disent Maçonnique et que tous trouvent magnifique!

 
À 14:22 , Anonymous Anonyme a dit...

il faudrait expliquer pourquoi un opéra devient franc-maçon???????
WB

 
À 18:46 , Anonymous Anonyme a dit...

Pas facile,mais pas impossible:on trouve tout sur Google...

 
À 18:57 , Blogger U cuccu a dit...

ou plutôt a extrait de Google
" L’INFLUENCE DE LA FRANC-MACONNERIE SUR L’ŒUVRE DE MOZART
Ce sont les œuvres de l’automne 1784 et notamment la sonate en ut mineur K 457, qui marquent les premières influences de la Franc-Maçonnerie sur les compositions de Mozart. Cette influence se retrouvera dans les sept dernières années de son existence au travers de la profondeur et de l’intensité de sa vie de Franc-Maçon.
Citons trois œuvres particulièrement imprégnées de ce symbolisme maçonnique.
La première, c’est la cantate « Die Maurerfreude » K 471, qui est véritablement la première grande composition maçonnique de Mozart, exécutée le 24 avril 1785 à un banquet de Loge à Vienne.
On retrouve déjà dans cette composition une unité où se mêlent l’originalité du style personnel et l’expression sobre et dépouillée de sentiments « spirituels ». Cette œuvre montre avec quel sérieux et quel enthousiasme Mozart, au profond de lui-même, s’est engagé dans la Maçonnerie.
La seconde, c’est la musique funèbre maçonnique K 477 exécutée lors d’une tenue de Loge à Vienne à la mémoire de deux frères maçonniques récemment décédés.
Nous sommes loin d’une œuvre de circonstance dédiée à la mort de deux amis. Le sentiment qui anime l’œuvre n’est pas une simple résignation devant la mort, mais la traduction d’une renaissance à une vie nouvelle, spiritualisée, divine.
Enfin la dernière, c’est l’opéra Singspiel « La Flûte Enchantée » K 620 représenté pour la première fois à Vienne le 30 septembre 1791.
La Flûte Enchantée qui en apparence semble être qu’un simple conte de fées, se révèle en réalité être une véritable œuvre de défense et de glorification de la Franc-Maçonnerie. Les allusions y sont à peu près ouvertes et se retrouvent d’un bout à l’autre de l’œuvre. Il n’est d’ailleurs pas nécessaire d’être franc-maçon pour remarquer les correspondances entre des passages du livret et des textes maçonniques qui ont été publiés à l’époque. Les références maçonniques de l’œuvre sont d’ailleurs nombreuses : on parle de confréries d’initiés, de déroulements rituels. Cela se retrouve notamment dans le passage du chœur des prêtres « O Isis und Osiris » du deuxième acte : le personnage Tamino n’a pas encore affronté la troisième partie des épreuves, la plus difficile ; mais déjà les initiés espèrent que le jeune prince sera bientôt digne d’être admis parmi eux."

 
À 19:12 , Anonymous Anonyme a dit...

Bravo Cuccu!C'est du rapide et du complet!

 
À 23:23 , Anonymous Anonyme a dit...

cher cuccu,un grand merci pour votre réponse,je ne vais pas mourir idiot.
wb

 

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