28 novembre 2005

L'anonymat , parlons-en .

L'anonymat , parlons-en . Originally uploaded by bati1.
Depuis les débuts du blog l’anonymat pose problème. Certes, il fait partie de la philosophie de naissance des blogs, il permet sans doute aux personnes un peu timides de s’exprimer plus librement, mais il autorise aussi toutes les dérives. Nous en avons connu au début, moins aujourd’hui et le filtrage permettrait, de toute façon, de limiter les dégâts. Malgré les règles édictées au départ du nouveau blog, j’ai laissé filer, les quelques comments anonymes portant sur des sujets anodins. Mais cette « culture de la lettre anonyme » n’est pas la mienne. L’usage honnête du pseudo pourrait-être un substitut valable et amusant, on arrive ainsi à situer une personnalité, un profil, une sorte de « portrait-robot » de l’intervenant, mais j’ai constaté que certains bloggeurs ou bloggeuses en changeaient comme d’un déguisement et, par pur amusement, faussaient ainsi le jeu. Alors… je vous engage à signer vos comments le plus souvent possible, ce sera plus clair pour tout le monde. Amicalement, U Cuccu

5 commentaires:

À 17:59 , Anonymous Anonyme a dit...

Puisque, à présent,il y a filtrage, quand bien même certains s'amuseraient à changer de pseudonyme, quelle importance après tout? Une intervention est-elle plus ou moins valable selon qu'elle est signée ou non, sous un nom ou sous un autre? Franchement si les excès sont écartés, cela ne me dérange pas! Bien sûr la curiosité est émoustillée,comme la tienne par exemple concernant le Pauvre Monsieur Pignon mais bon!
le masque est ici bien moins dangereux que la cagoule ailleurs!

 
À 19:31 , Anonymous Anonyme a dit...

Rien à ajouter à la réaction de Filou qui reflète exactement mon opinion sur le sujet.
Andréa B.M

 
À 01:14 , Anonymous Anonyme a dit...

" L'anonymat, parlons-en "
Avec qui? Il pose problème à qui?
Il n'y a pas foule au portillon. C'est une prise de tête dont on pourrait se passer.
Les dérives, les dégâts, les règles, l'honnêteté, le portrait -robot, jeu faussé, clarté....ce sont tous des mots que l'on croirait empruntés au langage de la justice ou de la police.
Je crois sincèrement que l'on se trompe d'endroit.
Ce blog a été dans mon esprit , jusqu'à présent un lien entre rutalais du village et rutalais éparpillés sur le continent et dans le monde. Ces derniers qui parait-il viennent régulièrement sur le site, n'ont pas vraiment joué le jeu; on ne les entend pas beaucoup.
Et je ne pense pas que cette rigidité imposée soit de nature à améliorer les choses.
D'accord pour le filtrage! Ensuite, alors qu' il n'y a plus aucun risque de dérives, arrivent d'autres directives dont
la forte incitation à renoncer à l'anonymat.
Lorsque les sujets sont sérieux, d'accord pour que chacun prenne ses responsabilités; et encore, ça se discute. On peut tenir des propos sensés , apporter sa pierre à l'édifice , en excluant évidemment les attaques personnelles et diffamatoires sans être pris pour autant pour "un corbeau ". Pour certains, ça autorise peut-être une certaine liberté.
Mais surtout, c'est tout l'aspect, amusement, jeu, déguisement qui déplait tellement au responsable, qui
est banni de ce blog . C'est dommage; moi, c'est ce que j'aimais. J'en parle déjà au passé parce que ce n'est plus possible. Le matin, mon premier geste était d'allumer mon ordinateur; j'avais hâte de voir les échanges de la nuit, car il y en avait. Maintenant, tant que le Cuccu n'est pas réveillé, rien. Tout ça manque de spontanéité, de légèreté. Pour moi la fameuse formule de 68, " il est interdit d'interdire" garde toute sa valeur.
Je me demande pourquoi je me laisse aller ainsi, à 1h du matin au lieu d'aller me coucher , alors que je travaille "ce matin".

Marc, je ne suis pas assez experte en informatique pour transférer ce comment sur "entourage". Je l'envoie pour que tu puisses le lire mais tu n'as pas besoin de le publier. Je crois que nous n'avons pas du tout la même vision du blog; on ne peut pas être toujours d'accord. Ce serait trop monotone. Mais ça n'empêche pas l'amitié.
C'est un peu décousu maintenant, j'ai très très sommeil, bonne nuit ou bonjour . BIsous Andréa

 
À 12:15 , Anonymous Anonyme a dit...

Eccumi sbarcatu di novu nantu à « Voce di Rutali ». Chì piacè per mè di pudè sparte tanti sintimi cumuni è d’esse un pocu in paese puru essendu luntanu di i mei è di l’amichi. Ci aghju trovu, inseme, u pueta sulingu è l’artistu danciu, u pazientutu è u stuzzicarinu, u saviu è u stranu, l’azezu è u mansu, u laziosu è u frizzulu di succudagna, l’acutu è u scurdanciu, u billicutu è u primurosu, u criticu è u fattiu, u dolce è l’amaru dulurosu…è tant’altri o altre chì s’ell’ùn sò parenti sò amichi è chì cumponenu un ritrattu ghjustu di u nostru paese è forse dinù u nostru propriu ritrattu perchè simu fatti tutti un pocu cusì secondu l’ora o l’avenimenti chì ci assaltanu. Ch’ognunu possa dì u so parè, senza gattivera nè rancore è senza offende à nisunu benintesu, nantu à ‘stu ghjurnalettu hè una campa chì tandu ci corre a vita ind’è e vene è ci s’appiccanu i surrisi nantu à e facce è qualchì volta ancu, lacrime chì facenu prò. Dillu in corsu o in francese secondu cum’è a sente u core, ghjè purtà a so petra, chjuca o maiò chì ci ne vole di tutte e mamme, à l’opera cumuna di tullerenza è di fraternità. Ghjè ancu quessa un Opera in Rutali in quest’epica in cerca di leia cun l’omi d’eri ma dinù cun quelli d’oghje. È ùn ci scurdemu ch’un pocu di pevaru è di sale ùn guastanu micca a salza ! Vuleria infine mandà un salutu particulare à tutti quelli (Ghjampà, Minutu, Fullettu, u Rusignolu, u Merlaccone, u Puvarettu di M .Pignon…) chì facenu u sforzu di falla in lingua corsa malgradu e dificultà presente di a scrittura. Face parte anch’ella di u patrimoniu à salvà. J.B.Giacomoni

 
À 22:19 , Anonymous Anonyme a dit...

Era ora che tu sberchessi, Jean Bati. Simu une pocchi nant'a stu blog a pruva di fà participa u più ghjente pussibile a s'intrapresa cumuna. Un è mica facile; sapemu chi so numerosi a rendeci visita, ma per scrive,so sempre troppu pocchi a franca u passu.
Je passe au français, Jean- Bati. C'est bête, mais j'ai des complexes face à quelqu'un comme toi qui parle et écrit si bien notre belle langue. Déjà, les quelques lignes en corse... Promis, j'achète un dictionnaire le plus tôt possible. C'est grâce aux blogs, celui de Opera et Voce di Rutali que j'ai osé me risquer à écrire in lingua nustrale pour la première fois. Je me suis dit que l'essentiel était de se faire comprendre; je ne suis pas la seule dans ce cas , ce blog aura donc, au moins, permis cela.
Ne tarde plus à "débarquer" comme tu le dis si bien. Nous avons tant de plaisir à te lire; j'ai lu ton poème chez Ghjanpa, c'est superbe.
A prestu, prestu
Andrea Balbinot Maroselli

 

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