05 mai 2006

5 Mai 1992: Furiani

5 Mai 1992: Furiani Originally uploaded by PP1.
Oui, souvenons-nous. En cette fin de journée du 5 Mai 1992, l'appât du gain et l'absence de contrôle, l'incompétence et l'inconscience ont tué ! Notre communauté en a-t-elle tiré les leçons dans ses pratiques collectives et ses comportements individuels, honnêtement je ne le crois pas. D'autres Furiani seraient-ils possibles ? Qui jurera du contraire ?

publié par U cuccu @ 09:58   5 commentaires

5 commentaires:

À 15:09 , Anonymous Anonyme a dit...

On ne peut jurer de rien.
Mais on peut se poser la question suivante:
Est-ce qu'un stade de près de 20 000 places vous semble être une option raisonnable pour une ville comme Bastia et son environnement?
Tout cet argent qui a déjà été gaspillé et qui le sera encore pour un un stade de cette importance n'aurait-il pas été mieux utilisé à d'autres fins?
Qui aurait pu penser que le SCB n'allait pas remonter en première division au terme de cette saison, après un début de championnat aussi prometteur?
Une grande équipe est-elle viable à Bastia?
Les bons résultats, ici, semblent toujours tenir du miracle ou d'heureux concours de circonstances.
Qu'en pensez-vous?
Pour ma part, je constate qu'Armand Cesari est toujours loin de faire le plein de spectateurs, alors, a-t-on besoin de l'agrandir?

 
À 16:15 , Anonymous Anonyme a dit...

Evidemment, aucune réaction; c'est désolant!

 
À 21:18 , Anonymous Anonyme a dit...

De nouveaux travaux permettront l'enrichissement de quelques uns encore et les contribuables de la région mettront un peu plus la main au portefeuille.
C'est un scandale qui rappelle la réhabilitation du théâtre de Bastia qui a été payé plusieurs fois.
Dans cette ile, tout se répète décidément, les leçons ne sont quasiment jamais retenues.

 
À 10:51 , Anonymous Anonyme a dit...

Effectivement, bientôt ils viendront du monde entier admirer le "stade penché" à l'image d'une certaine tour d'en face. En-dessous, il y a des marais (cf. les roseaux)

D'autre part, sachez que les leçons de l'histoire ne profitent jamais et rien ne vaut une "bonne petite expérience" mais là encore on peut se poser la question!

En politique comme disait le "Grand Charles", tout est possible (il l'a d'ailleurs démontré!) et remember : "Impossible n'est pas politique".

Par contre, je pense que par le passé Bastia (SCB)a montré sa capacité, malgré la démographie à se surpasser et à être parmi les meilleurs. Tout n'est qu'une volonté politique (dans le sens de "Polis" la ville).

Cé o];-))).

P.S.: en 17 ans, je ne suis en tout et pour tout aller qu'une seule et unique fois dans l'ancien stade (Guenion-Bastia en tant que masseur)et jamais dans le nouveau et pour cause, la sécurité n'est toujours pas assurée à 100%, le stade n'étant pas fini!
Valencienne a eu son stade en 17 mois pour 20 000 places...

 
À 10:38 , Anonymous Anonyme a dit...

Pour information la fédération (ou la ligue) impose aux club de première division et deuxième division une capacité pour leurs stades de minimum 17500 places quelque soit le nombre de la population (le SCB et l'ACA essaient de renouveler tout les ans leur dérogation leur permettant d'évoluer au plus haut nivaux dans leurs stades).
Je pense que c'est la qu'est le problème, le nombre de place devrait être au prorata du nombre de la population de la ville du club, seulement les hautes instances de se sport gangréné par l'argent ne veulent plus de "petit club qui ne servent à rien" et surtout pas de "club corses" pour les raisons que tout le monde sait.

 

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