Voce di Rutali in Corsica
Forum de toutes les personnes qui aiment le village de Rutali (Hte Corse), qui l'habitent, en sont originaires ou simplement le connaissent.
Forum de toutes les personnes qui aiment le village de Rutali (Hte Corse), qui l'habitent, en sont originaires ou simplement le connaissent.
43 commentaires:
U Senapaghju, scrittu Sanapaio in 1700, era unu di i lochi di Capitan Felice Rutali à sparte da i so cinque figlioli. Tandu c’eranu i pulloni. Di Filice dinù e terre di Pietra Tonda (oghje Petra Ronda) è quelle di Anneta.
‘Sse petre ritte di u Senapaghju accinghjenu forse un tumulu. È què ùn la ponu vede chè l’archeolochi. Speremu chì ùn ci serà micca scavi clandestini per via chì si perderebbe per u sempre a storia vera di ‘ssu locu. Avemu quì forse a chjave di a preistoria in un locu di vita eppo cù u passagiu, cuntrollu nant’à i dui mari, à i Pughjali.
Vicinu ci sò dui pagljaghji è un’aghja à mezu. L’Aghja di u Cumunu ùn seria micca custì è tandu ùn vuleria micca dì : aghja cumuna o in cumunu ?
Petra Ronda, Petra Tonda (da u latinu Rotonda) designerebbe u tribbiu chì ghjè tondu ? O altrimente induve hè ‘ssa petra tonda ?
Infine, ‘ssu locu hè vechjissimu è speremu chì frà pocu si ne saperà appena di più.
Louis.
Je vais essayer de traduire ce commentaire, par politesse ou par respect de ceux qui ne lisent pas le corse . Louis devrait envoyer au responsable de voce di rutali, les deux versions,ce serait faire de la pédagogie pour les personnes qui essaient d'apprendre la langue .
U "Sénapaghju",écrit "Sanapaio" en 1700, était une des proprietés du capitaine Félix Rutali, à partager avec ses 5 enfants. A l'époque, il y avait des jeunes chataigniers . De Félix aussi, les terres de "Pétra Tonda" (Aujourd'hui Pétra ronda) et celles de "l'Anneta". Ces pierres levées du Sénapaghju entourent peut-être un tumtulus. Mais celà, seuls des archéologues pourront le voir . Nous espérons qu'il n'y aura pas des fouilles clandestines, parcequ'alors, on perdrait pour toujours l'histoire de ce lieu . Nous avons ici peut-être la clé de la préhistoire dans un lieu de vie, avec le passage et le contrôle des deux mers aux Pughjali .A coté, il y a deux Paillers et une aire entre les deux . L'aire du "commun" ne serait pas là . A l'époque ne signifiait-elle pas : Aire commune ou en commun . Pétra ronda ou tonda (du latin rotonda) désignerait un "tribbiu' (1) qui est rond, ou alors, ou se trouve cette pierre ronde ? Enfin, cet endroit est très vieux, et, nous espérons que dans peu de temps, on en saura un peu plus .
(1)Tribbiu : Sorte de herse dont on se servait pour battre le blé .Grosse pierre arrondie que les boeufs trainent sur les épis dans l'aire à blé, pour les dépiquer .
Merci à la personne qui a traduit le texte de Louis...
À quand les cours de corse pour les non corsophones. Je suis partante :-))
D.D.
men tou (en normand)chére DD.moi aussi
wb.
ps: ce n'est pas dans les habitudes de Louis de ne pas faire la traduction,un oubli certainement.
Sur la traduction :
tumulus et non tumtulus.
L'aghja di u Cumunu ou l'Aire du commun ne serait-elle pas là et alors ne voudrait- elle pas dire aire commune ou en commun ?
Tribbiu : enlever sorte de herse.
Sur le reste :
Je n'ai pas à envoyer deux versions. Ce serait considérer la langue corse comme subalterne.
Nous n'en sommes pas là. Ma règle est la suivante : on peut s'exprimer dans une langue ou une autre.
Ceux qui ne comprennent pas peuvent demander des éclaircissements mais il est inconcevable de mettre une traduction française au texte corse. Ce n'est pas une langue morte et les méthodes, dictionnaires existent pour que chacun puissent traduire. En tous les cas si Voce di Rutali a la prétention de vouloir imposer la traduction des textes corses, à ce moment là je tirerai ma révérence sur ce blog.
Louis
Lorsqu'on traduit l'anglais en français cela voudrait donc dire que l'anglais est une langue subalterne!
Alors au revoir si bon vous semble!!
Mon cher Louis,
Je ne peux pas rester insensible à ton dernier commentaire.
Ce n'est pas moi qui ait traduit ton texte, mais un de nos lecteurs qui apparemment pratique bien le Corse lui aussi. Diffuser et faire aimer une langue, c'est la partager et donc la rendre accessible à ceux qui ne la possèdent pas ou pas encore. Vouloir la pratiquer seule, c'est l'enfermer dans un cercle qui serait de plus en plus restreint. Par nature, je suis pour ma part plus enclin à l'ouverture qu'à l'enfermement. J'ai toujours été partisan du bilinguisme pas du monolinguisme forçé.
Je regretterais la suspension de ta participation au blog, si tu devais confirmer cette option extrême, c'est toi qui me l'avait proposée et je m'en étais réjoui. Ces collaborations sont volontaires et nul n'y participe contre son gré...
J'ai voulu faire du blog un lieu d'échange et de convivialité, pas de ségrégation et d'exclusion. Je maintiendrai.
Marc Valéry
Louis n'as tu jamais traduit de textes italiens en corse pour nous les délivrer?
L'italien étant une sous langue..
César on aimerait savoir pourquoi tu traduis le corse en français ,tu n'as pas honte?
J'estime que l'on a beaucoup de chance d'avoir quelqu'un qui s'exprime en corse aussi bien car beaucoup de gens savent le parler mais pas l'écrire, encore moins le lire, aussi quand Louis écrit des textes en corse il serais préférable de le demander a lui même de le faire, il le feras certainement avec plaisir. LB
Louis le ferais certainement avec plaisir la traduction en français si on le lui demande mais le texte en corse reste quand même plus valorisant L G
C’est bien de vouloir, de pouvoir s’exprimer dans ce blog dans la langue de son choix. Je fais partie de ceux qui, ayant fait le constat de l’utilisation, hélas, tellement minoritaire du corse dans le blog, préfèrent s’exprimer dans cette langue afin de lui donner le coup de pouce nécessaire à sa survie plutôt que le coup de pied de l’âne qui va l’envoyer ad patres. Ce constat de langue minoritaire et minorée peut, encore une fois hélas, être généralisé à la très grande majorité des médias en Corse. Ce qui semble nouveau, et peut être là l’anonymat y participe, c’est qu’on voit poindre ici et là quelquefois une certaine hostilité, un certain mépris à son égard. Est-ce devenu un crime de lèse-majesté que de s‘exprimer dans sa langue maternelle ? Faut-il rappeler que c’est la langue de ce pays, qu’elle fait partie du patrimoine de ce pays, que c’est sa première richesse, qu’elle n’est pas antinomique avec le français et qu’on devrait tous ensemble œuvrer pour la faire tenir debout. Aussi, mon cher Marc, exiger de celui qui intervient sur le blog de donner simultanément, par politesse, la traduction en français, me paraît ressortir d’une relégation au rang des accessoires encombrants. J’espère que ce n’est pas le cas et ce serait bien que tu le précises. Bien amicalement à toi et à tous ceux qui donnent vie au blog quelle que soit la langue utilisée. jbg
Ce qui ne serait pas valorisant serait quand même aussi que bon nombre d'entre nous ne comprennent pas tout. Et ça serait dommage! Je ne comprends pas très bien où est le problème de cette traduction. Ca m'étonne même, que Louis ait pris la mouche pour si peu.
dire que l'on sous titre les film en vo de cette sous langue qu'est entre autre l'anglais,le corse langue d'adam et eve,c'est a hurler de rire
Mon cher Jean-Bati,
Tu interviens sur le ton amical et modéré qui est toujours le tien, et je te réponds volontiers. Je comprends que l’on soit militant de la langue. Je doute que de se monter toujours sur la défensive avec des réactions à fleur de peau et une certaine agressivité fasse progresser chez les non-corsophones l’envie d’apprendre. Il faut se garder de ce complexe d’assiègé qui pourrait conduire (chez des personnes moins ouvertes que toi) à un comportement sectaire et donc chez les autres à un mouvement de repli instinctif. Quelle meilleure façon de comprendre le Corse que de comparer un texte à sa traduction en Français. Il y a des continentaux qui ont envie de comprendre, il y a des Corse nés sur le continent, il y a aussi des Corses, nés et vivant en Corse, qui le parlent couramment mais qui le lisent difficilement. Soyons donc plus pédagogues qu’intégristes. Nous n’exigeons pas de nos intervenants qui s’expriment en Corse qu’ils traduisent obligatoirement, nous serions heureux qu’ils comprennent eux-mêmes que ce serait souhaitable, pour les autres lecteurs et pour la diffusion de la langue elle-même. Si non, leur intervention est zappée par beaucoup de lecteurs... où est donc l’intéret ?
M.V
C'est le ton comminatoire qui heurte.Pourquoi écrire par éxemple : Il faut retirer "herse".
Par curiosité, et c'est ce qu'a du faire le traducteur, j'ai consulté le dizziunariu corsu francese di u muntese, et, au mot : tribbiu, il est dit que c'est une sorte de herse dont on se servait pour battre le blé . Louis répondra que ce n'est pas une référence ce dictionnaire .
Comme l'a bien dit u cuccu, une traduction littérale aide énormément ceux qui veulent apprendre la langue corse . Et, pour ceux qui ne le parlent ou ne le comprennent pas, ce n'est pas finalement une lacune .
erpice
francese: herse
definizione: Attracciu agriculu pruvistu di parechji denti, adupratu pè i travagli superficiali di a terra: si passa cù l'erpice pè rompe e tolle dopu à u lavoru, o pè copre a biada suminata.
sinonimi:
ADECEC
Ce serait bien que l'on introduise de manière progressive la langue arabe (je suis au premier degré)car celle ci est actuellement délaissée si on la compare à l'évolution démographique en Corse
Bien sûr le corse devrait continuer à être employé sur ce blog car c'est un moyen de sauve garder cette belle langue ;par contre je suis favorable à sa traduction (par qui le veut et surtout par qui le peut avec l'autorisation préalable et "primordiale "de l'auteur:droit d'auteur oblige)
Le corse ne pourra refaire son retard qu'avec des gens ouverts pondérés et non sectaires.
Mr JBG essaye d"expliquer le petit énervement de Mr LG mais le raisonement du Cuccu est réaliste et plutôt juste
FANTOMAS
enfin un qui ose signer !! Merci FANTOMAS !
FANTOMETTE
Voila une adèpte !!
Heureux heureux
FANTOMAS O FANTASMA O SPIRITU
Prima lezziò di lingua corsa : pigliate u vostru dizziunariu corsu-francese (o cumpratene unu !) è fate a traduzzione di u testu di Louis. Prima ci vole à circà à di per sè per megliu amparà...Chì ne pensate ?
Traduction :
Première leçon de langue corse : prenez votre dictionnaire corse-français (où achetez-en un !) et faites la traduction du texte de Louis. Il faut d'abord chercher par soi-même pour mieux apprendre...Qu'en pensez-vous ?
Voila qui est bien et qui permet d'aider ceux qui désirent apprendre
On attend une deuxième leçon
Un corse qui le parle mais qui a d"énormes difficultés à le lire
La langue corse ne doit pas faire de complexe d'infériorité devant la langue française et à l'évidence si on a des traductions en français on pourra plus facilement avancer dans sa comprehension.
Je ne comprend pas cette petite tempête dans un verre d'eau nostrale.
La Corse n'est pas prête d'avancer. Il faut être réaliste. Du temps de mes grands parents le corse n'était pas écrit et Pasquale Paoli lui même utilisait la langue de Dante dans ses écrits. La Muvra pour exemple, est écrite en italien. Dans un premier temps, il me semble qu'il faudrait arriver à rétablir l'usage du corse oral avant de l'imposer à l'écrit. A l'heure actuelle pour reprendre les pensées de Fantomas, il me semble en tout cas que les jeunes arabes échangent beaucoup plus que les jeunes corses dans leur langue maternelle. L'enseignement du corse serait-il donc à revoir dans sa méthode. C'est l'oral qui fait qu'une langue reste vivante par rapport à "langue morte" comme le latin.
Je remercie les auteurs des derniers commentaires arrivés, pour la partie de leur intervention qui constitue un soutien au blog. Qu'ils veuillent bien comprendre que je ne les passe pas pour leurs autres considérations. Ne jetons pas d'huile sur le feu et surmontons ensemble cette enième crise d'urticaire, en évitant qu'elle laisse des traces sur des épidermes sensibles.
Certains «corsistes» n'ont manifestement pas envie de partager leur savoir qui doit être seulement réservé au "élus" qui parlent le corse et savent le lire. Mais comment les "non élus" doivent ils faire pour y parvenir? Qu'ils se débrouillent en demandant autour d'eux, en achetant des dictionnaires, mais surtout pas de traductions. Pourtant au moment où j'écris ce comment, on rediffuse sur Via Stella une émission sur les "Chjami e rispondi" sous-titrée.
C'est comme une réponse au débat qui a agité le blog.
beaucoup de mots (parole en corse)pour pas grand'chose.Ce serait bien de ne pas prendre la mouche (piglia a mosca)à tout moment et si possible pour rien.Bravo à Louis pour ses chroniques qui nous permettent de mieux connaitre l'histoire et les lieux;mais bravo ausii à qui les traduit pour une connaissance par le plus grand nombre (j'espère en utilisant ces termes ne pas tomber dans le piège des "minorités").Et bravo pour le blog,qui en Corse ou en Français se distingue toujours par sa culture....(au cas présent dans tous les sens du terme).
Sans entrer dans une polémique et pour parfaire mon commentaire précédent,je ne crois pas que le terme utilisé "preistoria" soit véritablement corse :antestoria serait sans doute plus approprié.
Louis, j'ai beaucoup d'admiration et de respect pour toutes les connaissances que tu nous transmets par le biais du blog... Cependant, je tiens à dire que le dictionnaire n'est pas le "sésame" de la traduction. J'ai encore en mémoire les versions latines que nous devions traduire à l'aide de notre "Gaffiot". Eh bien, on pouvait obtenir des traductions complètement différentes et opposées ! Que de contre-sens parfois ! Le même mot pouvait correspondre à plusieurs traductions parfois totalement différentes... laquelle "choisir" ?
Alors, franchement, je te serais reconnaissante de bien vouloir admettre que certains, sinon toi, traduisent pour les non-corsophones qui désirent enrichir leur connaissance tes écrits en langue corse.
Personnellement, je ne me vois pas passer un temps infini à feuilleter un dictionnaire en n'étant même pas assurée de traduire correctement le texte proposé. Bien que très ôpiniatre, je finirais par me décourager...
J'espère ne pas t'avoir contrarié... j'ai simplement voulu te donner mon seul point de vue.
Danièle_D.D.
Juste une petite précision concernant le journal "A Muvra".
J'ai trouvé sur le net à l'adresse suivante (http://www.histoire-image.org/site/etude_comp/etude_comp_detail.php?analyse_id=510) un exemplaire de ce journal que l'on peut consulter : il s'agit bien d'un journal en langue corse et non pas en italien comme il est mentionné dans un des commentaires ci-dessus.
Si la Muvra est en langue corse...alors c'est que je ne parle pas le corse. Ou alors un corse que je suis le seul à utiliser... On parle même dans la Muvra que j'ai lue, du corse ce dialecte de la langue italienne. Oui je sais... mais ce n'est pas moi qui le dis . Mille excuses.
"A Muvra"et "L'Annu corsu" étaient deux revues des années 1920 qui bien que de sensibilité différente, l'une autonomiste l'autre cyrnéiste (plus modérée) ont constitué à elles deux une riche anthologie de la littérature corse , illustrant à peu près tous les genres. Leur activité s'éteindra à la veille de la seconde guerre mondiale.
Jacques FUSINA.professeur des Universités et ...merveilleux poète et écrivain .
C'est Jacques Fusina qui signe? disant être un merveilleux poète et écrivain ou on le cite? Enfin... passons il n'en demeure pas moins et je l'ai bien retenu parce-que ça m'a bien fait sourire exactement "le plus beau dialecte italien". Je n'avais évidemment pas ce livre en ma possession, mais à l'époque seulement emprunté. Et cette phrase avait fait l'objet de longues discussions et interrogations bien sûr.
Je vais répondre à Danièle et aux autres aussi.
Entendons-nous bien, je ne suis pas contre la traduction française en référence au commentaire corse que j’ai fait sur le Senapaghju mais j’ai été surpris par ce qui était demandé en préambule. Envoyer deux versions.
Si l’on se réfère à la réponse de Marc, il recommande que les intervenants eux-mêmes mettent la traduction française au texte corse. Pour moi, cette solution est dévalorisante. L’état de la langue corse actuelle n’en est pas à une langue morte mais à une langue qui peut être comprise, parlée, lue et écrite. Et sa présence est un plus pour le blog.
Je n’ai pas dit que le dictionnaire suffisait seul pour la compréhension. J’ai parlé aussi des méthodes (d’apprentissage, il en existe). Je pourrais ajouter le contact avec les gens. Il y a enfin les affinités du corse avec les autres langues romanes.
Je suis favorable à la langue française bien évidemment puisque mes rubriques l’ont été dans cette langue. Le corse, langue maternelle de beaucoup d’entre nous et langue spontanée du cœur, mérite sa place . Si le blog refuse ce principe, je ne peux que me retirer et je me rendrais utile à mes compatriotes sous une autre forme.
Louis.
Louis,
La langue corse a sa place sur mon blog comme elle l’a dans ma vie quotidienne. J’ai même milité pour l’identité corse sans doute bien avant que tu ne sois toi-même sensibilisé politiquement à ces questions. Un jour, quand nous aurons le temps, je te raconterai, en corse ou en français, comment est née et a été portée la revendication de l’Université de Corté par un groupe de jeunes gens dont j’étais... mais là n’est pas la question. Nous avons tous dans nos familles des frères, des soeurs, des cousins mariés à des continentaux et lorsque nous nous retrouvons avec joie autour d’un repas, nous nous efforçons de parler la langue que tout le monde comprend: le français, parce que nous ne voulons exclure personne. Cela nous parait la moindre des choses. Nous ne nous adressons pas systématiquement à l’autre en Corse sans nous demander s’il comprend ou pas. Et lorsque un non-corse veut s’intégrer, comprendre notre mentalité, nos traditions, nos valeurs, notre langue, je préfère l’aider plutôt que de lui signifier qu’il n’est pas des nôtres et qu’il ne le sera jamais. Qu’il n’a qu’à se débrouiller...! Le blog peut-être un support utile pour cette oeuvre pédagogique, il ne sera jamais le véhicule d’une croisade.
Alors, Mardi ta chronique sera la bienvenue, si tu veux bien nous l’envoyer et l’incident sera clos. Si tu ne le fais pas, je le regretterai, plusieurs lecteurs aussi sans doute, mais il n’est pas question que ce blog que j’ai créé et que j’anime, depuis plus de cinq ans maintenant, se départisse de son attitude constante d’ouverture et de libéralisme d’idée au profit d’un comportement militant pour quelque cause que ce soit.
M.V
Tu déformes ma pensée. J'ai des idées politiques mais je n'écris pas en corse par militantisme.
Louis
Merci Louis d'avoir répondu à mon message... merci pour ta réponse argumentée. J'espère pouvoir lire demain ta rubrique et encore pour longtemps. Grâce à toi, j'ai découvert avec bonheur et étonnement la richesse insoupçonnée de l'histoire du lieu où j'ai choisi de vivre désormais. Je n'imaginais même pas que ce petit village pût avoir un tel passé, je l’apprécie d’autant plus… beaucoup plus que sentimentalement.
À demain donc, sur le blog… ?
D a n i è l e
Caru paisanu,caru Louis,dà core è di spiritu sò cù tè,sì di quelli chì anu riapertu l'universita.
Micca elli...Ghjè da noi
Ghjanpa
Ô cugi,
tu devais encore jouer aux billes à l'époque...:-)
Ce n'est pas Louis qui a permis à l'université d'ouvrir ses portes
Ceux sont des étudiants qui se trouvaient dans des facs sur le continents et quelques rares politiques dont faisait peut être partie U Cuccu (ça je ne le sais pas)
Il ne faudrait pas non plus nous faire croire n'importe quoi!!
Il ne l'a jamais prétendu! Ce n'est pas non plus ce qu'a voulu dire Ghjanpa, qui assimile un peu abusivement (et historiquement, à tort)l'Université à une mouvance particulière.
Il s'agissait bien d'étudiants corses d'universités continentales,(Paris, Marseille, Aix, et les débuts de Nice) regroupés au sein de l'Union Nationale des Etudiants Corses. La revendication d'une Université à Corté (après de longues discussions sur la localisation...) a été officiellement actée à l'occasion du Congrès de la Jeunesse Corse, qui s'est tenu au Palazzu Nazionale à Corté, en Août 1962 (ça ne nous rajeunit pas) et que je présidais (Beh, oui...). Je dois à la vérité de dire que les Cortenais n'étaient pas spécialement ravis et nous prenaient soit pour des fous, soit pour des emm...eurs, car cette création pouvait se révéler incompatible avec la présence de la Légion... qui fournissait le gros de la clientèle des bars cortenais...!! (sic)
Chers Rutalacci, je crois qu'il est temps d'arrêter ce petit jeu !! N'attribuez pas des propos à mon père que d'autres ont tenu pour lui ! Il ne vous demande rien alors laissez-le en paix. D'ailleurs, puisque ses interventions soulèvent autant de polémique, je pense qu'il a raison pour sa tranquillité d'esprit (et surtout pour celle de notre famille !) de mettre fin à sa rubrique. Alors avà basta ! (traduction en français : ça suffit !, traduction en arabe : rallas !)
Bonne journée à tous les Rutalacci !
Katia qui vous suit du Caire et qui est parfois déconcertée en lisant certains commentaires du blog !
Merci d'avoir apporté ces explications ,par contre je ne parlais pas de Louis mais de GHJANPA qui se plante totalement "si di quelli chi anuriapertu l'universita.."
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