09 novembre 2010

C'etait un jour de deuil pour la France! FAIZANT l'avait très bien illustré avec cette France pleurant sur le Grand chêne déraciné. Quarante ans ! et ceux qui l'admirent toujours (comme moi) pleurent encore, celui qui demeure toujours le Grand homme de notre histoire. J.M.FLORI

11 commentaires:

À 19:48 , Anonymous Anonyme a dit...

Un Président comme on en fait plus, malheureusement !

 
À 22:45 , Anonymous Anonyme a dit...

BLOG DE JEAN-PIERRE CHEVÈNEMENT de ce jour

SARKOZY EST TRÈS LOIN DU GÉNÉRAL DE GAULLE

Le Général De Gaulle se voulait au dessus des partis, diriez-vous la même chose de Nicolas Sarkozy?

De Gaulle ne prétendait pas incarner la droite ou la gauche, il voulait rassembler la France. Il y a réussi, en tout cas dans la Résistance. Grâce à l’appui de Jean Moulin, il a acquis la légitimité du soutien de la résistance intérieure puis il a unifié la Résistance dans le gouvernement provisoire de la République française. Nicolas Sarkozy, lui, arrive même à diviser son camp. Il est très fort ! Il n’est plus l’homme de la Nation. Il est l’élu d’un parti majoritaire. Je ne conteste pas sa légitimité mais j’observe que la définition du Président comme étant l’émanation de la Nation tout entière n’existe plus guère.

Il ne s’inscrit donc pas, selon vous, dans l’héritage du Général de Gaulle?

Il ne me paraît pas être l’héritier du général de Gaulle. Il a réintégré le commandement de l’Otan, un geste hautement symbolique. Il a voté le traité de Maastricht, fait voter le traité de Lisbonne qui est la reprise de la Constitution européenne que le peuple a rejetée. Je pense que le Général de Gaulle respectait les décisions du peuple. Sarkozy est très loin du Général de Gaulle.

J’ajoute que le général De Gaulle, comme disaient ses fidèles, habitait sa statue. Monsieur Sarkozy n’habite pas sa statue. Pour une raison très simple: il n’en a pas et a beaucoup de peine à habiter sa fonction. Je le regrette parce qu’il n’a pas que des défauts.

Eh oui, JM F il faudra bien arriver à l'admettre

 
À 07:15 , Anonymous Anonyme a dit...

Oui mais "je vous ai compris" ..bof même les meilleurs peuvent changer d'avis..alors réintégrer l'OTAN...Tenez le coupeur de têtes des 56/57 et ben en 81 il aurait pu les recoller il l'aurait fait...
Père Duchesne

 
À 09:58 , Anonymous Anonyme a dit...

De Jean-François Probst, homme politique français de droite qui fut conseiller de Pasqua et Juppé entre autres: " Sarkozy à Colombey, c'est comme Madoff sur la tombe de Marx"

 
À 10:11 , Anonymous Anonyme a dit...

Le gaullisme affiché de Sarkozy dans le discours qu'il a prononcé hier à Colombey (qui plus est n'est pas de lui !) est une forfaiture.

 
À 10:55 , Anonymous Anonyme a dit...

Hum ça commence à chauffer..aux urnes citoyens,formez vos isoloirs...pour détendre
une que j'ai entendu hier de Fabrice Luchini...sur un tournage un copain lui demande..t'a fais quoi hier..
A cause de ma mauvaise circulation j'ai fait 2h de marche,puis j'ai lu Schopenhauer ensuite j'ai écouté Glenn Gould...
Le copain..Tu t'es fait chié quoi..
j'adore bc

 
À 16:16 , Anonymous Anonyme a dit...

Envoyé e plusieurs comments pour la longueur
LU SUR LE POST: (extraits)
Et si on rappelait ce que de Gaulle disait des juifs, des arabes et des noirs ?

La France est un pays devenu incapable d'appréhender son histoire sans aussitôt déclencher, d'un même élan, le procès médiatique qui va avec.

Tantôt c'est à charge : on se penche sur une période, sur la vie d'un homme, et on le juge et on le condamne sans attendre. Ces dernières semaines, François Mitterrand fut (une fois de plus !) soumis à ce traitement de faveur cette fois à propos de son action durant la Guerre d'Algérie.
Tantôt, c'est un procès en béatification. France 3 nous a ainsi offert hier trois heures consacrées à la gloire du général de Gaulle,.
Cette sempiternelle béatification médiatique de Charles de Gaulle est aussi réductrice que la permanente excommunication médiatique de François Mitterrand.

Par exemple, l'émission d'hier, notamment le débat animé par Poivre d'Arvor, ne permettait pas de mettre en relief le fait que le général de Gaulle était aussi un homme de son temps, né en 1890, dans une famille réactionnaire, et que de ce point de vue, certaines prises de position, choix cruciaux, grandes orientations de politique étrangère montraient qu'il ne s'était pas départi d'une certaine culture familiale.

 
À 16:17 , Anonymous Anonyme a dit...

La preuve en trois citations :
"Certains même redoutaient que les juifs, jusqu’alors dispersés, mais -qui étaient restés ce qu’ils avaient été de tout temps, c’est à dire un peuple d’élite, sûr de lui-même et dominateur, n’en viennent, une fois rassemblés dans le site de leur ancienne grandeur, à chan­ger en ambition ardente et conquérante les souhaits très émouvants qu’ils formaient depuis dix-neuf siècles." (Conférence de presse du 27 novembre 1967) voir la vidéo sur le site de l'Ina) –

"Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine, et de religion chrétienne. Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont les Arabes, les Français sont les Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de Musulmans, qui demain seront peut-être vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisons l’intégration, si tous les Arabes et Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s’ins taller en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Eglises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées ! " (Cité par B. Stora, Le transfert d’une mémoire, Ed. La découverte, 1999) –

"Vous savez, cela suffit comme cela avec vos nègres. Vous me gagnez à la main, alors on ne voit plus qu’eux : il y a des nègres à l’Élysée tous les jours, vous me les faites recevoir, vous me les faites inviter à déjeuner. Je suis entouré de nègres, ici. […] Et puis tout cela n’a aucune espèce d’intérêt ! Foutez-moi la paix avec vos nègres ; je ne veux plus en voir d’ici deux mois, vous entendez ? Plus une audience avant deux mois. Ce n’est pas tellement en raison du temps que cela me prend, bien que ce soit déjà fort ennuyeux, mais cela fait très mauvais effet à l’extérieur : on ne voit que des nègres, tous les jours, à l’Élysée. Et puis je vous assure que c’est sans intérêt." (Entretiens avec Jacques Foccart, 8 novembre 1968. cité dans ses Mémoires, tome 2).

Ca le fait un peu moins, hein ? Question béatification...

 
À 16:18 , Anonymous Anonyme a dit...

Que l'on ne se méprenne pas. Ce rappel n'a pas pour objet de se livrer à l'un de ces procès médiatiques comme on les aime aujourd'hui. Il s'agit simplement de souligner que toute approche historique nécessite que toutes les facettes d'un homme, d'une période soient exposées. Ca n'est pas en le repeignant uniquement en Saint visionnaire du monde des années 60 et de la France éternelle que l'on y parviendra.

De Gaulle n'était pas, du point de vue historique, un bloc sans défauts ni aspérités. Il ne mérite donc pas la béatification médiatique dégoulinante que l'on nous sert depuis deux jours. Mieux encore, cela l'aurait beaucoup agacé de voir des "zozos" comme il le disait, se réclamer de son héritage alors qu'ils sont loin, loin, loin, si loin de lui.

 
À 16:40 , Anonymous Anonyme a dit...

où peut-on se procurer le dessin de FAIZANT suite à la mort de DE
GAULLE?

 
À 16:50 , Blogger U cuccu a dit...

En le "piquant" sur le blog ou en le cherchant sur Google images, tapez " mort du Gal De Gaulle".

 

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