Voce di Rutali in Corsica
Forum de toutes les personnes qui aiment le village de Rutali (Hte Corse), qui l'habitent, en sont originaires ou simplement le connaissent.
31 juillet 2012
30 juillet 2012
PERDU
Une paire de lunettes de vue, le jour du Vide-Grenier sur la place de l'église. Si vous les avez trouvées, merci d'en informer Paul Santelli ou de les déposer au bar à son intention. MERCI pour lui.
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Louise Borragini, fidèle à son inspiration |
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François Balbinot peint nos paysages familiers |
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Quel Nicolas Vellutini préférez-vous ? |
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Dominique Féron particulièrement créative, à partir d'objets de récupération |
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Jean-Claude Moulin: "il maestro pensèroso" |
RUTALI CRÉE
(Les oeuvres de Robert et Gilbert Chiarelli, ainsi que celles de J.M Boari ont été présentées Samedi) Cliquez pour agrandir.
29 juillet 2012
28 juillet 2012
KARALOTO, HIER SOIR À RUTALI
D'aucuns se sont émus de la simultanéité de deux animations hier soir à Rutali et en effet cette absence de concertation aurait pu avoir des effets négatifs sur la fréquentation de l'une et de l'autre. Eh bien, il n'en a rien été puisque s'adressant à des publics différents. Les deux assistances étaient fournies: jeune (très) au karaoke et disons plus...mure au Loto. Finalement la diversification à offert à chacun ce qu'il préférait...
27 juillet 2012
ANNIVERSAIRE
Ce 26 juillet, cela a fait sept ans que, sous le pseudonyme du Cuccu, j'ai conçu et animé ce petit blog qui a été une vitrine, un quotidien d'informations locales, un lien avec ceux de la "diaspora", un moyen d'expression, un lieu de débats ... et parfois un défouloir, une arène. Nombreux sont ceux qui ont aimé et qui sont devenus des lecteurs fidèles, quelques-uns n'ont pas apprecié... du tout. Bon, on ne peut pas plaire à tout le monde...
L'anonymat aura été durant ces sept ans le grand sujet de discussion. Il est vrai qu'il peut favoriser les dérives, mais il est tout aussi vrai qu'il permet l'expression de personnes qui n'oseraient pas écrire sans cette relative protection. Pas seulement à cause de pressions sociales, réelles ou supposées, mais souvent à cause d'une insuffisante maitrise de l'écrit, qu'on préfère ne pas afficher.
Et alors, celui qui n'est pas très sur de son orthographe devrait-il se taire? Non !
Le blog s'est toujours plus attaché au fond qu'à la forme et tous les commentaires, non violents, non injurieux, non calomniateurs... ont été publiés.
Le blog doit rester ouvert mais maitrisé. Cet équilibre n'est pas facile à trouver, j'ai fait de mon mieux entre l'indispensable liberté d'expression et le nécessaire respect de l'autre. Cela n'a jamais été simple, mais au terme de ces sept ans, de ces 2555 parutions, 9537 messages, 24536 commentaires publiés (... et quelques centaines non publiés ), il est temps d'envisager une évolution, une succession.
Un septennat, ça suffit.
Je souhaite passer la main à ceux qui au fil du temps sont devenus nos chroniqueurs réguliers. Nous nous employons à organiser ce passage de témoin, sur le fond comme sur la technique, et d'ici la rentrée nous aurons le plaisir de vous en dire davantage.
Marc Valéry, alias "U cuccu".
- La recette du Vendredi:
Pâtes au chèvre, pesto de menthe et pignons - Préparation : 10mn
- Cuisson : 12mn
INGRÉDIENTS
500 g de pâtes 50 g de pignons de pin 1 fromage de chèvre frais 15 cl de crème fleurette huile d’olive poivre du moulin1 c. à soupe de vinaigre de Xérès 1 botte de menthe4 filets d’anchois
RECETTE
- Faites cuire les pâtes en suivant les indications du paquet.
- Faites dorer les pignons dans une poêle à sec.
- Ecrasez le chèvre en ajoutant la crème, un filet d’huile d’olive, du poivre et le vinaigre.
- Retirez les feuilles de menthe des tiges et faites-les bouillir pendant 1 mn dans l’eau.
- Egouttez-les et mixez-les avec les pignons et les anchois.
- Mélangez ce hachis avec le chèvre dans un saladier, faites chauffer 10 s au micro-ondes, puis ajoutez les pâtes égouttées, remuez et servez aussitôt.
- Vous pouvez aussi servir ces pâtes froides en salade.
26 juillet 2012
25 juillet 2012
24 juillet 2012
LE LIVRE DU MARDI
Je viens de lire « Le
Turquetto » de Metin Arditi aux éditions Actes Sud.
Nous sommes au XVI eme siècle, à
Constantinople. Le petit Elie, fils d’un marchand d’ esclaves
juif n’a qu’une passion, le dessin : Activité complètement
interdite aux juifs. Pourtant le jeune garçon s’obstine malgré
les obstacles, copie les fresques de St Sauveur, s’initie à la
calligraphie avec un musulman…A la mort de son père il quitte
Constantinople pour Venise.Le jeune Elie change de nom, travaille
auprès des maîtres de la Renaissance italienne : Véronèse,
Titien qui lui donnera le nom de Turquetto, le « petit turc ».
Il devient leur égal, fait
carrière et son œuvre mêle avec bonheur la calligraphie ottomane,
l’art sacré et les thèmes bibliques. Mais en peignant une
« Cène » somptueuse, il dévoile ses origines juives, et
l’église le fait emprisonner et juger.
Il est condamné à mort et ses toiles
sont détruites. Il échappe de peu à la pendaison, mais de son
œuvre il ne restera que cet énigmatique « Homme au gant ».
Voilà un livre rythmé,
plein de vie et de couleurs qui nous amène à une réflexion sur la
création, sur le pouvoir , sur la difficulté à échapper à un
destin tracé.
Des souks grouillants de
Constantinople aux sombres intrigues des palais vénitiens, je vous
invite à faire le voyage. M.A.V.
23 juillet 2012
DECÈS:
C'est avec une profonde tristesse que nous avons appris le décès de Robert POYO, survenu à son domicile le 22 juillet, à l'age de 77 ans . A son épouse Marie-Jeanne, à ses enfants Christian et Maryse,
à ses petits enfants et son arrière petite-fille, ainsi qu'à tous les parents et proches atteints par ce deuil, nous présentons nos condoléances les plus sincères .
La cérémonie religieuse sera célèbrée en l'église saint Vitus de Rutali, le mardi 24 juillet 2012 à 17 heures .

ça s'est passé un 23 Juillet
en 1904
Vanille, fraise ?
C'est à Saint-Louis, dans le Missouri, lors d'une foire, que l'Américain Charles Menches présente sa nouvelle invention, sans se douter qu'elle va changer la face du monde. Elle se nomme "cornucopia". Sous ce nom mystérieux se cache en fait un biscuit en forme de cône fourré de deux cuillerées de crème glacée. La glace était née, entraînant pour des décennies des cris de joie d'enfants, des kilos superflus et des doigts qui collent...
TRUCS
DE SURGÉLATION...
- Congélation ou surgélation : quelle différence ?
La SURGÉLATION est une technique
industrielle soumettant les aliments à un refroidissement ultra
rapide, à températures très basses (-35°C à -196°C). Grâce à
ce procédé, l’eau contenue dans les cellules se cristallise
finement limitant ainsi la destruction cellulaire. Les produits ainsi
traités conservent toute leur texture, leur saveur et peuvent être
conservés plus longtemps.
La surgélation permet même de tuer
certains parasites néfastes pour la santé.

- Les 5 commandements des surgelés :
1 _ La chaîne du froid jamais tu ne
rompras.
2 _ Un produit décongelé jamais tu ne
recongèleras.
3 _ Des techniques de décongélation
optimales tu respecteras.
Éviter la décongélation à
température ambiante qui peut provoquer une multiplication des
bactéries.
4 _ Les produits bruts tu
privilégieras.
5 _ Les dates limites d’utilisation
optimale des surgelés (DLUO) tu respecteras.
Les produits surgelés bénéficient d’une date limite d’utilisation optimale (DLUO) qui varie de 9 à 24 mois. Elle est mentionnée sur l’emballage. Au-delà, il n’est aucunement dangereux de les consommer, mais leurs saveurs peuvent être dégradées.
Les produits surgelés bénéficient d’une date limite d’utilisation optimale (DLUO) qui varie de 9 à 24 mois. Elle est mentionnée sur l’emballage. Au-delà, il n’est aucunement dangereux de les consommer, mais leurs saveurs peuvent être dégradées.
21 juillet 2012
20 juillet 2012
Une perdrix dans ma cour
Ce matin nous avons été surpris par le lourd battement d'ailes d'un volatile. Une perdrix manifestement blessée venait de faire un atterrissage d'urgence dans notre cour. Elle s 'est reposée un instant, à l'un de nos mouvements elle s'est perchée plus haut et de sa nouvelle position elle s'est finalement envolée plus loin. Mais à mon avis pas très loin...
Aujourd'hui:
FLEURS DE COURGETTES

Pour la pâte
200
g de farine
1/2
sachet de levure
2
blancs d'oeufs
250
ml d'eau gazeuse glacée
une
pincée de sel
2
cuill. à soupe d'huile d'olive
ail
et persil hâchés, selon votre goût
1
litre d'huile de friture neutre
2 bouquets de fleurs mâles ou
une vingtaine de fleurs femelles prélevées sur les courgettes
2 bouquets de fleurs mâles ou
une vingtaine de fleurs femelles prélevées sur les courgettes
Recette
- Laver les fleurs, enlever délicatement le pistil, les ouvrir en deux et les déposer sur un plateau recouvert de papier absorbant, puis réserver.
- Mélanger la farine, la levure et le sel dans un saladier.
- Ajouter l'eau gazeuse glacée, bien mélanger.
- Ajouter 2 cuillères d'huile d'olive.
- Monter les blancs d'oeuf en neige bien ferme
- Incorporer délicatement les blancs d'oeuf à la pâte à l"aide d'une spatule.
- Ajouter l'ail et le persil selon votre goût.
- Plonger délicatement les fleurs une à une dans dans la pâte et les déposer dans un bain d'huile frémissante.
Faire
cuire une minute environ de chaque côté.
Dès
qu'elles croustillent, retirer les fleurs à l'aide d'une écumoire,
égoutter sur du papier absorbant et servir rapidement.
Moi, je les accompagne d'une sauce tomate bien relevée pour y tremper les beignets, un peu fades sans cela.
19 juillet 2012
Cette voix, cette allure, cette présence, cette musique, cette guitare portugaise...
LA DOUCEUR D'UNE SOIRÉE A PATRIMONIU
18 juillet 2012
17 juillet 2012
Si
D.D. est fidèle au poste alors moi aussi, d'autant que j'ai fini ce
très bon livre
Je vous propose un autre succès de
librairie mérité, le beau livre de Delphine de Vigan aux
éditions J.C.Lattès : « Rien ne s’oppose à la
nuit »
Quand sa mère, Lucile, se
suicide à soixante et un ans, seule, Delphine, bouleversée, demande
à ses oncles et tantes de lui parler de leur soeur, de lui raconter
son enfance, les joies et les drames qui l’ont jalonnée.
Commence alors pour l’auteure
une quête longue et difficile pour rassembler les pièces du puzzle
et comprendre comment la petite fille puis la femme, si belle ,si
intelligente, a pu sombrer dans la « bipolarité »
jusqu’’ au naufrage autodestructeur qui les marquera au fer
rouge, elle et sa sœur Manon.. La douleur de Lucile, que Delphine
n’appelle jamais maman, a fait partie de l’enfance des deux sœurs
et plus tard de leur vie d’adulte, avec pourtant des périodes
d’accalmie et même de joies partagées.
De cette « famille joyeuse
et dévastée » fantasque, complexe, pleine de vie et de gaîté
dont elle est issue, D.de Vigan va essayer d’ approcher les
secrets, les douleurs, mais sans jamais forcer le trait, tout en
élégance et pudeur. Elle évoque enfin avec tendresse et désarroi
le suicide de sa mère et les questions sans réponses qu’elle
emporte avec elle.
Ce témoignage, superbement écrit,
brillant, sensible, a servi sans doute de thérapie à Delphine
deVigan, mais écrit sans pathos, pudique, tendre et émouvant, ils
nous touche profondément et touchera aussi ceux qui ont eu à
affronter la maladie d’un proche.
Un très beau livre qui
démontre que les sujets les plus rébarbatifs à priori, sublimés
par le talent, deviennent passionnants . M.A.V.( le joli titre est
tiré d’une chanson de Bashung..)
16 juillet 2012
CORSE-MATIN: Opération séduction/promotion dans le Nebbiu
La technique est bien rodée: un article gentiment flatteur pour la micro-région et des équipes sur le terrain pour pousser à l'abonnement ou à la livraison par porteur. Courageux de la part de ces prospecteurs... Les magazines font ça depuis longtemps, modifiant leur page de couverture sur quelques centaines d'éxemplaires, pour faire croire que la région ou la ville a les honneurs de l'Express ou du Point et dedans un cahier maigrichon plein de pubs. C'est de bonne guerre, c'est du business.